Organes: Tout Cancer - Spécialités: Analyse biologique

Étude ITHER : étude visant à évaluer l’intérêt de la réponse immune anti-télomérase des lymphocytes auxiliaires T CD4+ comme marqueur prédictif de l’efficacité des immunothérapies ciblant PD-1/PD-L1. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancer, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Les immunothérapies ciblant PD-1 ou PD-L1 sont disponibles pour le traitement de plusieurs cancers et elles ont démontré une réponse clinique durable chez certains patients. Pour prédire la capacité de réponse des patients à ces immunothérapies, il est nécessaire de développer des outils pour suivre la réponse immune antitumorale de façon dynamique. La réponse immune anti-télomérase des lymphocytes auxiliaires T CD4+ (Th1) pourrait être un biomarqueur de l’efficacité de la réponse à l’immunothérapie. Ce dernier pourrait être analysé par un essai de laboratoire mis au point au CHU de Besançon. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’intérêt de la réponse immune anti-télomérase des lymphocytes auxiliaires T CD4+ comme marqueur prédictif de l’efficacité des immunothérapies ciblant PD-1/PD-L1. Les patients auront des prises de sang à l’inclusion, puis 1 mois, 3 mois et 12 mois après le début du traitement avec un anti-PD-1 ou un anti-PD-L1. Les monocytes du sang périphérique et le plasma seront collectés ainsi que des échantillons de la tumeur. Les patients seront suivis pendant 12 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans

Étude PANEL : étude de dépistage visant à évaluer la contribution du séquençage de nouvelle génération à l’indentification de mutations de la lignée germinale chez des patients ayant des cancers à début précoce avec une composante sporadique ou héréditaire. Il est estimé que seulement 5 à 10 % des cancers ont une prédisposition héréditaire. Il y a 3 types de prédispositions : associées aux cancers communs, liées aux cancers héréditaires rares ou maladies génétiques pouvant évoluer en cancer. Malgré l’évidence de cette prédisposition héréditaire, l’analyse génétique basée sur le phénotype n’apporte pas souvent d’information sur la maladie. L’utilisation du séquençage de nouvelle génération permettrait d’analyser une panoplie de gènes sélectionnés pour leur implication dans les cancers et pourrait contribuer à clarifier le type de cancer des patients par l’identification de mutations délétères. L’objectif de cette étude est d’évaluer la contribution du séquençage de nouvelle génération à l’indentification de mutations de la lignée germinale chez des patients ayant des cancers à début précoce avec une composante sporadique ou héréditaire. Les patients seront répartis en 5 groupes selon leur type de cancer. - Dans le premier groupe seront inclus les patients ayant un cancer du sein à début précoce sans altérations génomiques de BRCA1, BRCA2 ou TP53. - Dans le deuxième groupe seront inclus les patients ayant un cancer de l’ovaire à début précoce sans altérations génomiques de BRCA1 ou BRCA2. - Dans le troisième groupe seront inclus les patients ayant un cancer pédiatrique sans altérations génomiques de TP53. - Dans le quatrième groupe seront inclus les patients ayant un cancer colorectal à début précoce sans altérations génomiques de APC, MUTYH, SMAD4, BMPR1A, PTEN ou STK11 en cas de polypose adénomateuse ou d’hamartome ou sans altérations génomiques de MSH2, MLH1 ou MSH6 en cas de cancer colorectal héréditaire sans polypose. - Dans le cinquième groupe seront inclus les patients ayant des tumeurs primaires multiples sans présenter une forme syndromique. Les échantillons de tous les patients seront séquencés et analysés pour 200 gènes sélectionnés.

Essai ouvert aux inclusions

Étude ITHER : étude visant à évaluer l’intérêt de la réponse immune anti-télomérase des lymphocytes auxiliaires T CD4+ comme marqueur prédictif de l’efficacité des immunothérapies ciblant PD-1/PD-L1. [essai clos aux inclusions] Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancer, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Les immunothérapies ciblant PD-1 ou PD-L1 sont disponibles pour le traitement de plusieurs cancers et elles ont démontré une réponse clinique durable chez certains patients. Pour prédire la capacité de réponse des patients à ces immunothérapies, il est nécessaire de développer des outils pour suivre la réponse immune antitumorale de façon dynamique. La réponse immune anti-télomérase des lymphocytes auxiliaires T CD4+ (Th1) pourrait être un biomarqueur de l’efficacité de la réponse à l’immunothérapie. Ce dernier pourrait être analysé par un essai de laboratoire mis au point au CHU de Besançon. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’intérêt de la réponse immune anti-télomérase des lymphocytes auxiliaires T CD4+ comme marqueur prédictif de l’efficacité des immunothérapies ciblant PD-1/PD-L1. Les patients auront des prises de sang à l’inclusion, puis 1 mois, 3 mois et 12 mois après le début du traitement avec un anti-PD-1 ou un anti-PD-L1. Les monocytes du sang périphérique et le plasma seront collectés ainsi que des échantillons de la tumeur. Les patients seront suivis pendant 12 mois.

Essai clos aux inclusions