Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie,Thérapies Ciblées
Celgene MAJ Il y a 4 ans

Étude FUSION NHL 001 : étude de phase 1-2, évaluant la tolérance du durvalumab (MEDI4736) seul ou associé à lenalidomide et rituximab, ou ibrutinib, ou bendamustine et rituximab, chez des patients ayant un lymphome ou une leucémie lymphoïde chronique. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Les lymphomes et leucémies sont des cancers qui impliquent des cellules sanguines cancéreuses qui s’accumulent de façon anormale et incontrôlée. Dans la leucémie, dont il existe plusieurs types, cette accumulation se fait dans le sang et la moelle osseuse, dans les lymphomes, l’accumulation se fait dans les ganglions et le système lymphatique. Le point commun des lymphomes et de la leucémie lymphoïde chronique est l’implication des lymphocytes B. De nouvelles stratégies thérapeutiques telles que l’immunothérapie apparaissent dans la prise en charge de ces types de cancers. Elle consiste à administrer des médicaments, comme le durvalumab actuellement en cours d’évaluation, stimulant le système immunitaire pour qu’il puisse défendre l’organisme contre les cellules cancéreuses. Le durvalumab bloque une protéine (PD-L1) présente à la surface des cellules cancéreuses ce qui permet aux cellules du système immunitaire d’agir efficacement contre elles. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance, la sécurité d’emploi et l’efficacité du durvalumab, soit seul, soit associé à d’autres médicaments chez des patients ayant un lymphome ou une leucémie lymphoïde chronique. L’étude sera réalisée en 2 étapes : la 1ère visera à déterminer la dose efficace la mieux tolérée du durvalumab et la 2ème aura pour objectif d’apporter les premiers éléments sur l’efficacité du durvalumab utilisé seul ou en association avec d’autres médicaments. Les patients seront répartis entre 4 groupes en fonction de leur pathologie : Les patients du premier groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure et du lénalidomide une fois par jour du 1er au 21ème jour de la cure. Ce traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 13 cures. Les patients recevront du rituximab en perfusion IV une fois par semaine lors de la première cure et le 1er jour de la 2ème à la 5ème cure uniquement. Les patients du deuxième groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure pendant 13 cures de 28 jours et de l’ibrutinib PO tous les jours jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du troisième groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure pendant 13 cures de 28 jours, de la bendamustine le 1er et 2ème jour de la 1ère à la 6ème cure et du rituximab le 2ème jour de la 1ère à la 6ème cure. Les patients du quatrième groupe recevront du durvalumab le 1er jour de chaque cure pendant 13 cures de 28 jours. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CEGF816X2201C : étude de phase 2, évaluant l’efficacité et la tolérance de deux combinaison de traitement, le premier associant l’EGF816 (un inhibiteur d’EGFR) et le nivolumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules EGFR muté , le second associant l’INC280 (un inhibiteur de cMET) et le nivolumab, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules-MET positif. Le cancer du poumon est une maladie des cellules des bronches ou, plus rarement, des cellules qui tapissent les alvéoles pulmonaires. Il se développe à partir d’une cellule initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur. Le tabac est le premier facteur de risque des cancers du poumon. Il est responsable de 8 cancers du poumon sur 10. Il existe deux principaux types de cancers du poumon en fonction de l’origine des cellules des bronches dont ils sont issus : les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC), qui représentent près de 85 % des cancers du poumon ; les cancers bronchiques à petites cellules (CBPC), qui représentent près de 15 % des cancers du poumon. Le traitement standard du cancer du poumon non à petites cellules avec mutation du récepteur EGFR est une thérapie par inhibiteur de l’EGFR. Il n’existe pas encore de traitement standard pour le traitement du cancer du poumon non à petite cellules positif pour c-Met, cependant le nivolumab a déjà montré une activité anticancéreuse dans le traitement de ce type de cancer. Le nivolumab est un anticorps agissant sur le système immunitaire et induisant une inhibition de la multiplication des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du nivolumab associé à du nazartinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec mutation du récepteur EGFR et celle du nivolumab associé à du capmatinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules positif pour c-Met. Les patients seront répartis en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab associé à du nazartinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients recevront du nivolumab associé à du capmatinib. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis jusqu’à 1 an après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
BeiGene MAJ Il y a 4 ans

Étude BGB-A317-301 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité et la sécurité d’emploi du tislelizumab par rapport au sorafénib en traitement de première intention chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire non résécable. Le carcinome hépatocellulaire, ou hépatocarcinome, représente 90 % des cancers primitifs du foie. Il tient son nom des cellules du foie à partir desquelles il se développe, les hépatocytes. Le plus souvent le carcinome hépatocellulaire apparaît sur un foie endommagé par une maladie. Il peut également arriver que le carcinome se développe chez une personne ayant un foie normal. La résection du foie permet d’enlever la tumeur ainsi qu’une marge de tissu sain tout autour. Elle constitue le traitement principal lorsqu’il n’y a qu’une seule tumeur, que celle-ci mesure moins de 2 cm et que le cancer ne s’est pas propagé. Le tislelizumab est un anticorps monoclonal qui agit en empêchant la liaison des cellules tumorales aux cellules immunitaires. En bloquant cette interaction, le système immunitaire retrouve son aptitude à attaquer les cellules cancéreuses. Le sorafénib est un inhibiteur d’enzymes impliquées dans la croissance des cellules cancéreuses. Il bloque la multiplication des cellules cancéreuses ainsi que la formation de nouveaux vaisseaux sanguins nécessaire à leur développement. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi entre du tislelizumab par rapport au sorafénib dans le traitement de première intention chez des patients adultes atteints d’un CHC non résécable. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du tislelizumab toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de nouvelle progression ou d’intolérance au traitement. Une progression initiale selon les critères RECIST v1.1 sera autorisée. Les patients du 2ème groupe recevront du sorafénib 2 fois par jour. Le traitement sera répété en l’absence de nouvelle progression ou d’intolérance au traitement. Une progression initiale selon les critères RECIST v1.1 sera autorisée. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 4 ans

Étude BO29554 : étude de phase 2-3 évaluant l’efficacité et la tolérance de différentes thérapie ciblées chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique présentant des mutations somatiques actionnables. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. L’alectinib et l’atézolizumab sont des traitements de thérapie ciblée. Ces traitements ont une action ciblée en intervenant à un niveau précis du développement de la cellule tumorale. Le carboplatine, le cisplatine et la gemcitabine sont des agents anti-cancéreux qui se fixent sur l’ADN des cellules tumorales, inhibant ainsi la prolifération de ces cellules et induisant leur mort. Le pémétrexed inhibe la multiplication cellulaire en bloquant la réplication de l’ADN des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de différentes thérapies ciblées chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique avec des mutations somatiques actionnables. Les patients seront répartis en 3 cohortes selon les altérations génétiques de leur pathologie : Les patients de la cohorte A recevront de l’alectinib 2 fois par jour jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients de la cohorte B recevront de l’alectinib 2 fois par jour, jusqu’à la progression, intolérance au traitement ou détermination de la dose la mieux adaptée. La dose d’alectinib sera régulièrement augmentée) afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la partie 2. Les patients de cette cohorte participant à la partie 2 recevront de l’alectinib 2 fois par jour à la dose déterminée à la partie 1 jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients de la cohorte C seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du groupe C1 recevront de l’atézolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe C2 ayant un carcinome non épidermoïde recevront du pémétrexed associé soit à du carboplatine, soit à du cisplatine, tous les 21 jours jusqu’à 4 à 6 cures maximum, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Puis ils recevront du pémétrexed seul tous les 21 jours en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du groupe C2 ayant un carcinome épidermoïde recevront de la gemcitabine à forte dose associée à du cisplatine ou de la gemcitabine à faible dose associée à du carboplatine. Le traitement sera répété tous les 21 jours jusqu’à 4 à 6 cures, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 6 ans maximum.

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MorphoSys MAJ Il y a 6 ans

Étude MOR208C205 (COSMOS) : étude de phase 2, évaluant l’efficacité et la tolérance du MOR00208, un anticorps anti-CD19 associé à l’idelalisib, un inhibiteur de PI3K, chez des patients ayant une leucémie lymphoïde chronique ou un lymphome à petit lymphocyte réfractaire ou en rechute et traité par un inhibiteur de Bruton tyrosine kinase. La leucémie lymphoïde chronique est un cancer des cellules souches du sang, qui deviennent des cellules blastiques (cellules sanguines immatures) empêchant les cellules sanguines saines d’accomplir leurs tâches. Dans le 95% de cas, la leucémie lymphoïde chronique affecte les lymphocytes B, qui se transforment en cellules cancéreuses. La leucémie lymphoïde chronique est l’un des types les plus courants de leucémie chez l’adulte et elle se développe lentement au fil des mois ou des années. Le lymphome à petits lymphocytes est considéré comme une variante de la même maladie. Dans la leucémie lymphoïde chronique les cellules du lymphome se trouvent dans le sang et la moelle osseuse et dans le lymphome à petits lymphocytes, dans les ganglions lymphatiques et la rate. Les options de traitement pour les patients ayant une leucémie lymphoïde chronique ou un lymphome à petits lymphocytes récurrent ou réfractaire sont limitées après avoir arrêté un traitement avec un inhibiteur de la Bruton tyrosine kinase comme l’ibrutinib à cause d’une progression de la maladie, une transformation ou une intolérance.. L’anticorps MOR00208 a montré des résultats prometteurs lors des études précédentes avec une activité clinique complémentaire à l’idelalisib et au vénétoclax, des traitements actuels pour la leucémie lymphoïde chronique. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité du MOR00208 associé à l’idelalisib ou au vénétoclax chez des patients ayant une leucémie lymphoïde chronique ou un lymphome à petits lymphocytes traité antérieurement avec un inhibiteur de la Bruton tyrosine kinase (BTK). Les patients seront répartis en deux groupes. Les patients du groupe 1 recevront du MOR00208 en perfusion intraveineuse une fois par semaine pendant les premiers 3 mois puis toutes les deux semaines pendant les 3 mois suivants puis une fois par mois avec l’idelalisib par voie orale deux fois par jour. Les patients du groupe 2 recevront du MOR00208 en perfusion intraveineuse une fois par semaine pendant les premiers 3 mois puis toutes les deux semaines pendant les 3 mois suivants puis une fois par mois avec du vénétoclax par voie orale une fois par jour. Tous les patients recevront le traitement pendant un maximum de 24 cures de 4 semaines ou jusqu’à progression de la maladie. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

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Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CLAG525B2101 : étude de phase 2 randomisée évaluant l’efficacité, la tolérance et la pharmacocinétique de LAG525 en association avec PDR001, ou avec du carboplatine, ou avec PDR001 associé à du carboplatine en traitement de première ou deuxième ligne chez des patients ayant un cancer du sein triple négatif de stade avancé. Le cancer du sein triple négatif représente 15 à 20 % des cas de cancers du sein nouvellement diagnostiqués. Pour ce type de cancer, il n’existe pas de thérapies ciblées approuvées et la chimiothérapie reste le traitement de référence. Les récentes recherches sur le cancer montrent l’efficacité de l’activation de la réponse immunitaire pour lutter contre les tumeurs. L’efficacité de l’immunothérapie par LAG 525, administré seul ou associé à PDR001 (spartalizumab), a été démontrée lors d’études précédentes. L’apport de la chimiothérapie pourrait améliorer davantage l’efficacité de cette immunothérapie ou de la combinaison d’immunothérapies. De telles combinaisons sont actuellement à l’étude pour le traitement d’autres types de cancer. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité, la tolérance et la pharmacocinétique de LAG525 associé à PDR001, au carboplatine, ou à PDR001 associé au carboplatine chez des patients ayant un cancer du sein triple négatif de stade avancé. Les patients seront randomisés en 3 groupes : Les patients du premier groupe recevront le LAG525 et le spartalizumab toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété pendant 3 ans maximum en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront le LAG525, le spartalizumab et du carboplatine toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété pendant 3 ans maximum en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du troisième groupe recevront le LAG525 et du carboplatine toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété pendant 3 ans maximum en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Une biopsie sera effectuée pendant la phase de sélection (sauf en cas de disponibilité d’un échantillon d’une biopsie de moins de 6 mois) et entre le premier jour de la quatrième cure et le premier jour de la cinquième cure. Une biopsie additionnelle facultative pourra être effectuée en cas de progression de la maladie. Les patients seront revus pour une évaluation de la tumeur toutes les 6 semaines pendant les 6 premiers mois puis toutes les 12 semaines jusqu’à progression de la maladie. Ils seront également suivis pour la tolérance tous les mois à partir de la dernière prise de spartalizumab ou de LAG525 pendant un maximum de 5 mois. Ensuite, ils seront suivis pour la survie toutes les 12 semaines.

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Etude 1280.18 : étude de phase 1b visant à évaluer la tolérance du xentuzumab et de l’abémaciclib chez des patients ayant une tumeur solide localement avancée ou métastatique ou une tumeur du sein HR+, HER2- localement avancée ou métastatique en association avec un traitement hormonal. Malgré le progrès pour traiter la maladie cancéreuse, il existe certains cancers pour lesquels un besoin thérapeutique est urgent comme par exemple le cancer du poumon non à petites cellules ou le cancer du sein. Etudier de nouvelles thérapies et associations de thérapies est un enjeu primordial de la recherche dans ce domaine. Les cellules cancéreuses sont initialement localisées au niveau de l’organe mais peuvent se détacher et se propager formant des « métastases ». Des études précoces ont démontré une activité clinique et une bonne tolérance de deux médicaments : l’abémaciclib et le xentuzumab. Les modèles expérimentaux montrent que ces deux traitements seraient plus efficaces s’ils étaient utilisés en même temps. L’objectif de cette étude est de déterminer la tolérance, la toxicité et la dose recommandée pour la phase 2 et de montrer des signes d’efficacité permettant de poursuivre le développement de l’association du xentuzumab et de l’abémaciclib dans 2 types de cancers métastatiques : le cancer bronchique non à petites cellules et le cancer du sein. L’étude sera réalisée en 3 parties : Partie 1 : La 1ère partie est constituée d’un seul groupe A de patients ayant une tumeur solide. Les patients recevront du xentuzumab, 1 fois par semaine et de l’abémaciclib 2 fois par jour. Partie 2 : La 2ème partie est constituée de 4 groupes de patients : - Les patientes des 3 groupes B, C et D ayant un cancer du sein recevront du xentuzumab, 1 fois par semaine, de l’abémaciclib fois par jour. Chaque groupe de patientes aura des doses différentes déterminées à partir de la dose définie dans la 1ère partie (groupe A) et un traitement hormonal (soit du fulvestrant 1 fois par mois, avec une dose supplémentaire 2 semaines après la première dose, soit de l’anastrozole, soit du létrozole une fois par jour). - Les patients du groupe E ayant un cancer bronchique non à petites cellules recevront du xentuzumab, 1 fois par semaine et de l’abémaciclib 2 fois par jour, à la dose déterminée lors de la première partie dans la cohorte A. Partie 3 : Les patientes de la cohorte d’expansion F (cancer du sein) recevront du xentuzumab, 1 fois par semaine et de l’abémaciclib 2 fois par jour à la dose recommandée déterminée lors de la 1ère partie et du fulvestrant 1 fois par mois, avec une dose supplémentaire 2 semaines après la première dose. Le traitement sera poursuivi pour des cures de 28 jours jusqu’à progression de la maladie ou début d’un autre traitement. Un électrocardiogramme (ECG) sera réalisé lors de la sélection, toutes les 2 semaines lors des cures, en fin de traitement et d’étude. Des prélèvements sanguins seront collectés lors de la sélection, toutes les semaines lors de la 1ère cure, toutes les 2 semaines pour les cures suivantes, en fin de traitement et d’étude. Un bilan d’imagerie sera effectué par scanner ou imagerie par résonnance magnétique (IRM) lors de la sélection, toutes les 8 semaines jusqu’à la semaine 48 puis toutes les 12 semaines jusqu’à progression de la maladie ou début d’un autre traitement. Si nécessaire, une scintigraphie osseuse sera réalisée.

Essai ouvert aux inclusions