Le promoteur: Bristol Myers Squibb (BMS)
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CheckMate649 : étude de phase 3 randomisée visant à comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab au nivolumab associé à l’oxaliplatine et à la fluoropyrimidine et à l’oxaliplatine associé à la fluoropyrimidine chez des patients ayant un cancer gastrique ou de la jonction oesogastrique non traité avancé ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Le cancer de l’estomac reste le deuxième cancer digestif en termes d’incidence en France. Son pronostic reste médiocre avec une survie globale à 10 ans d’environ 20 % en raison d’un diagnostic tardif. Parmi les traitements du cancer de l’estomac, on utilise souvent les chimiothérapies palliatives. Le cancer de l’oesophage est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules de l’oesophage. Le traitement du cancer de l’oesophage à un stade avancé est en grande partie d’intention palliative et il n’existe aucun agent chimiothérapeutique approuvé pour cette indication en particulier. Le traitement standard se fait par une chimiothérapie. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Les données précliniques et cliniques précédentes ont montré un effet synergique prometteur de la chimiothérapie associé aux inhibiteurs des points de contrôle immunitaires. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie anti-PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab au nivolumab associé à l’oxaliplatine et à la fluoropyrimidine et à l’oxaliplatine associé à la fluoropyrimidine chez des patients ayant un cancer gastrique ou de la jonction oesogastrique non traité, avancé ou métastatique. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes : Les patients du premier groupe (groupe d’immunothérapie) recevront du nivolumab par voie intraveineuse (IV) et de l’ipilimumab en IV toutes les 3 semaines pendant 4 cures puis du nivolumab en IV toutes les 2 semaines à partir de la cinquième cure. Les patients du deuxième groupe (immunothérapie et chimiothérapie) recevront du nivolumab en IV toutes les 3 semaines associé à une chimiothérapie XELOX (de l’oxaliplatine en IV toutes les 3 semaines et de la capécitabine par voie orale (PO) deux fois par jour pendant les 2 premières semaines de chaque cure de 3 semaines) ou FOLFOX (de l’oxaliplatine en IV et du leucovorine en IV le premier jour et du fluorouracile en IV les 2 premiers jours de chaque cure toutes les 2 semaines) selon le choix de l’investigateur. Les patients du troisième groupe (groupe de chimiothérapie) recevront une chimiothérapie XELOX (de l’oxaliplatine en IV toutes les 3 semaines et de la capécitabine PO deux fois par jour pendant les 2 premières semaines de chaque cure de 3 semaines) ou FOLFOX (de l’oxaliplatine en IV et de la leucovorine en IV le premier jour et du fluorouracile en IV les 2 premiers jours de chaque cure toutes les 2 semaines) selon le choix de l’investigateur. Les traitements seront administrés jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Le traitement avec du nivolumab sera administré jusqu’à 24 mois en absence de progression de la maladie ou intolérance au traitement. Le traitement avec du nivolumab pourra être réinitié selon le schéma initial en cas de progression ultérieure de la maladie et administré jusqu’à un an supplémentaire. Les patients auront 1 visite de suivi 30 jours après la fin du traitement, puis 1 seconde visite 84 jours après la première, puis une visite à l’hôpital ou par téléphone tous les 3 mois.

Essai clos aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Etude CA209-577 : étude randomisée de phase 3 comparant l’efficacité du nivolumab au placebo en traitement adjuvant chez des patients ayant eu une résection d’un cancer de l’oesophage ou de la jonction gastro-oesophagienne. Le cancer de l’oesophage se positionne au 9ème rang des cancers au niveau de sa fréquence dans le monde. Le traitement de référence pour les cancers de l’oesophage de la jonction gastro-oesophagienne est composée d’une radiothérapie (rayons visant à détruire les celles cancéreuses) et d’une chimiothérapie (médicaments anticancéreux) avant une intervention chirurgicale dans le but de réduire la taille des cellules cancéreuses avant l’intervention. Il y a, à ce jour, un besoin médicale pour de nouvelles stratégies thérapeutiques. L’immunothérapie (médicament qui stimule le système immunitaire pour lutter contre les maladies et les cancers) a récemment montré une efficacité clinique dans plusieurs types de cancers à un stade avancé après l’intervention chirurgicale. Des études préliminaires ont montré une efficacité du nivolumab dans ce type de cancers. L’objectif de cette étude est d’évaluer la survie globale et la survie sans progression de la maladie chez des patients ayant un cancer de l’oesophage ou de la jonction oesogastrique traités par nivolumab comparativement à ceux recevant un placebo et ayant reçu une chimiothérapie et une radiothérapie suivies d’une intervention chirurgicale. Un électrocardiogramme sera effectué dans les 2 semaines avant l’administration du traitement. Après avoir reçu une radiothérapie et une chimiothérapie suivies d’une intervention chirurgicale, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront du nivolumab en perfusion intraveineuse (IV) de 30 min toutes les 2 semaines pendant 8 cures (16 semaines) puis toutes les 4 semaines. Ce traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance pour une durée maximale de 1 an au total. Les patients du deuxième groupe recevront un placebo en perfusion IV de 30 min toutes les 2 semaines pendant 8 cures (16 semaines) puis toutes les 4 semaines. Ce traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance pour une durée maximale de 1 an au total. Des échantillons de tumeurs seront prélevés dans les 16 semaines avant l’administration du traitement, en cours de traitement de façon optionnelle, au moment de la première récidive et lors des visites de suivi. Des prélèvements sanguins seront pratiqués lors de la sélection, dans les 3 jours avant chaque administration de traitement et lors de la 1ère visite de suivi et de la 2ème uniquement en cas d’évènements indésirables liés au produit à l’étude persistants. Une évaluation de la tumeur par imagerie (scanner de l’abdomen et du thorax et autres localisations si nécessaire) sera réalisée dans le mois précédant l’administration du traitement puis toutes les 12 semaines. Les patients ayant arrêté le traitement pour une raison autre que la récidive continueront d’avoir des évaluations tumorales de surveillance jusqu’à récidive toutes les 12 semaines durant les 2 premières années puis tous les 6 à 12 mois entre les 3ème et 5ème années avec une dernière évaluation à 5 ans. Les patients répondront à des questionnaires de qualité de vie le 1er jour de la 1ère cure, toutes les 2 cures jusqu’à la 9ème cure et à chaque cure jusqu’à la dernière, puis aux visites de suivi tous les 3 mois jusqu’à 2 ans après la dernière dose. Les patients seront suivis à 1 mois après traitement puis tous les 3 mois ou plus fréquemment si nécessaire, lors d’une consultation ou par téléphone pour une durée de 5 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CheckMate358 : étude de phase 1-2, évaluant la tolérance et l’efficacité d’un traitement par nivolumab, dans deux cohortes, néo-adjuvant et métastatique, chez des patients ayant une tumeur solide avec test viral positif ou non. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. Les différents types de tumeurs étudiées dans ce protocole sont reconnus comme pouvant être induits par des virus comme le papillomavirus humain et le virus d’Epstein-Barr, qui sont capables d’activer la prolifération cellulaire, l’inhibition de la mort cellulaire programmée et l’inhibition des protéines suppressives de tumeurs. Ces virus sont responsables de 670 000 nouveaux cas de cancer par an dans le monde. Dans ces cancers, bien qu’une réponse immunitaire existe, cette dernière n’est pas efficace. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie anti-PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides avec un test viral positif ou non. Les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront 2 doses de nivolumab avant une chirurgie, puis ils seront suivis à intervalles réguliers tandis qu’ils reçevront le traitement standard. En cas de progression tumorale survenant dans l’année qui suit la dernière administration du traitement standard, les patients pourront recevoir à nouveau le nivolumab sur le même schéma que les patients du groupe métastatique. Les patients du deuxième groupe recevront du nivolumab toutes les 2 semaines jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Sous certaines conditions, le nivolumab pourrait être poursuivi malgré la progression de la maladie. Les patients du premier groupe auront des visites de suivi à 35 et 115 jours et à 8 et 12 mois après la fin du traitement standard. Les patients deuxième du groupe auront des visites de suivi à 35 et 115 jours après la fin du traitement avec du nivolumab. Tous les patients seront suivis tous les 3 mois lors de visites ou par téléphone pendant toute leur vie.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA045-001 : étude de phase 3 comparant l’efficacité du bempegaldesleukin (NKTR-214) associé à du nivolumab par rapport à du nivolumab seul, chez des patients ayant un mélanome métastatique ou inopérable non traité. Le mélanome est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules de la peau, les mélanocytes. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d’un grain de beauté est souvent le premier signe de la présence d’un mélanome cutané. S’il est dépisté à un stade précoce et localisé à la peau le pronostic reste généralement bon ; en revanche, à un stade avancé le pronostic est moins favorable. Le traitement de référence des stades avancés est la chirurgie, la chimiothérapie, l’immunothérapie et la thérapie ciblée. La bempegaldesleukin cible les récepteurs spécifiques du CD122 présents à la surface des cellules immunitaires appelées lymphocytes CD8+ et cellules tueuses naturelles. Elle entraine une augmentation du nombre de cellules immunitaires dans la tumeur et le sang périphérique. L'activité biologique de la bempegaldesleukin en fait une immunothérapie potentiellement prometteuse à combiner avec des inhibiteurs de point de contrôle qui ciblent et inhibent la voie PD-1 / PD-L1 comme le nivolumab. L’objectif est d’évaluer l’efficacité du bempegaldesleukin (NKTR-214) associé à du nivolumab par rapport à du nivolumab seul chez des patients ayant un mélanome métastatique ou inopérable non traité. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront de la bempegaldesleukin associée à du nivolumab toutes les 3 semaines jusqu’à 48 fois, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du nivolumab toutes les 3 semaines jusqu’à 48 fois, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis à J30 et J100 après avoir reçu la dernière cure puis tous les 3 mois jusqu’à la fin de l’étude. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA209-901 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab ou à une chimiothérapie de standard par rapport à la chimiothérapie de standard seule, chez des patients ayant un cancer urothélial métastatique ou non opérable et non traité. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer de la vessie est le neuvième cancer le plus fréquent dans le monde. Le carcinome urothélial représente la grande majorité des cancers de la vessie. Le traitement standard des cancers de la vessie métastatiques ou non opérables consiste en l’administration d’une chimiothérapie à base de cisplatine associée à de la gemcitabine ou du méthotrexate, de la vinblastine et de la doxorubicine. Dans les cas d’intolérance au traitement à base de cisplatine, un traitement associant la carboplatine et la gemcitabine est souvent proposé comme alternative thérapeutique. Le nivolumab et l’ipilimumab sont des traitements d’immunothérapie qui agissent sur le système immunitaire du patient pour le rendre apte à attaquer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du nivolumab associé à l’ipilimumab ou associé à une chimiothérapie standard par rapport à la chimiothérapie standard seule chez des patients ayant un cancer urothélial métastatique ou non opérable et non traité. Les patients seront répartis selon leur éligibilité au traitement par cisplatine puis ils seront répartis aléatoirement en quatre groupes. Les patients non éligibles au traitement par cisplatine seront répartis de façon aléatoire dans les deux premiers groupes uniquement. Les patients éligibles au traitement par cisplatine seront répartis de façon aléatoire dans tous les groupes. Les patients du 1er groupe recevront du nivolumab associé à l’ipilimumab toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 4 fois, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients recevront ensuite le nivolumab seul dans les 6 semaines suivant la dernière administration du traitement précédant ; ce traitement sera alors répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe seront répartis selon leur éligibilité au traitement par cisplatine : 1* Les patients du 1er sous-groupe (éligibles au traitement par cisplatine) recevront de la gemcitabine une fois par semaine pendant 2 semaines, associé à du cisplatine 1 fois. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 6 fois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. 2* Les patients du 2ème sous-groupe non éligibles au traitement par cisplatine recevront de la gemcitabine 1 fois par semaine pendant 2 semaines, associé à du carboplatine 1 fois. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 6 fois, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du nivolumab 1 fois, associé au cisplatine 1 fois et à la gemcitabine 1 fois par semaine pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 6 fois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients recevront ensuite du nivolumab seul dans les trois semaines suivant la fin du traitement précédant ; ce dernier traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 4ème groupe recevront de la gemcitabine 1 fois par semaine pendant 2 semaines, associé avec de la cisplatine 1 fois. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression et d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pour une évaluation radiologique et un bilan des signes vitaux, 30 et 90 jours après la fin du traitement de l’étude puis tous les trois mois jusqu’à 3 ans et demi après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Étude CA224-020 : étude de phase 1 / 2a visant à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986016 seul et associé au nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. La LAG-3 humaine est une protéine qui bloque le système immunitaire. Le BMS-986016 est un anticorps humain ciblant spécifiquement LAG-3, ce qui permet d’éliminer ce blocage et de stimuler le système immunitaire pour lui permettre d’agir contre les cellules cancéreuses. Le nivolumab est une nouvelle immunothérapie ciblant PD-1 qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. La combinaison du BMS-986016 avec du nivolumab a montré des résultats prometteurs dans les études précliniques précédentes et pourrait avoir une activité antitumorale synergique. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du BMS-986016 seul et associé au nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides avancées. L’étude comprendra 4 parties : A, B, C et D. La France ne participera pas aux parties A et B. Dans la partie C, les patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab toutes les 2 semaines ou toutes les 4 semaines pour les patients ayant un cancer de la vessie. Dans la partie D, tous les patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab, puis seront répartis en 2 cohortes. Dans la cohorte D1 seront inclus les patients ayant un mélanome prétraité par immuno-oncologie. Ces premiers patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab toutes les 2 semaines. Les patients inclus par la suite dans la cohorte D1 recevront le traitement toutes les 4 semaines. Dans la cohorte D2, les patients recevront du BMS-986016 associé au nivolumab toutes les 4 semaines. Les patients recevront les traitements pendant un maximum de 12 cures de 8 semaines ou jusqu’à une réponse complète confirmée, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients auront des visites de suivi à 30, 60 et 135 jours après la fin du traitement de l’étude puis ils seront contactés par téléphone toutes les 12 semaines jusqu’à 2 ans après la fin du traitement.

Essai ouvert aux inclusions