Pays: France - Le promoteur: Hôpitaux de Rouen
Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans
Essai clos aux inclusions
Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans

Étude VESPER : étude de phase 3, randomisée, comparant l’efficacité d’une chimiothérapie péri-opératoire associant de la gemcitabine et du cisplatine (GC) par rapport à une chimiothérapie péri-opératoire associant du méthotrexate, de la vinblastine, de la doxorubicine et du cisplatine haute dose (MVAC-HD), chez des patients ayant un carcinome à cellules transitionnelles (CCT) de vessie infiltrant le muscle. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité d’une chimiothérapie péri-opératoire associant de la gemcitabine et du cisplatine (GC) par rapport à une chimiothérapie péri-opératoire associant du méthotrexate, de la vinblastine, de la doxorubicine et du cisplatine haute dose (MVAC-HD), chez des patients ayant un carcinome à cellules transitionnelles (CCT) de vessie infiltrant le muscle. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie standard comprenant de la gemcitabine, administrée en perfusion intraveineuse une fois par semaine pendant deux semaines, et du cisplatine administré en perfusion intraveineuse le premier jour de chaque cure. Ce traitement sera répété toutes les trois semaines pendant quatre cures. Les patients du deuxième groupe recevront une chimiothérapie comprenant du méthotrexate, administré en perfusion intraveineuse le premier jour de chaque cure, ainsi que de la vinblastine, de la doxorubicine et du cisplatine, administrés en perfusion intraveineuse au deuxième jour de chaque cure. Ce traitement sera répété toutes les deux semaines pendant six cures. Pendant le traitement, les patients du premier groupe seront revus toutes les trois semaines et les patients du deuxième groupe seront revus toutes les deux semaines. A la fin du traitement, tous les patients seront revus tous les quatre mois pendant la première et la deuxième année, puis tous les six mois pendant trois ans. Le bilan de suivi comprendra un examen clinique et un examen biologique. Dans le cadre d’une étude ancillaire, des prélèvements de tissus (biopsie et prélèvement sanguin) seront réalisés afin d’analyser des biomarqueurs pouvant avoir un impact sur la réponse ou la résistance aux traitements.

Essai ouvert aux inclusions
Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans

Étude PANEL : étude de dépistage visant à évaluer la contribution du séquençage de nouvelle génération à l’indentification de mutations de la lignée germinale chez des patients ayant des cancers à début précoce avec une composante sporadique ou héréditaire. Il est estimé que seulement 5 à 10 % des cancers ont une prédisposition héréditaire. Il y a 3 types de prédispositions : associées aux cancers communs, liées aux cancers héréditaires rares ou maladies génétiques pouvant évoluer en cancer. Malgré l’évidence de cette prédisposition héréditaire, l’analyse génétique basée sur le phénotype n’apporte pas souvent d’information sur la maladie. L’utilisation du séquençage de nouvelle génération permettrait d’analyser une panoplie de gènes sélectionnés pour leur implication dans les cancers et pourrait contribuer à clarifier le type de cancer des patients par l’identification de mutations délétères. L’objectif de cette étude est d’évaluer la contribution du séquençage de nouvelle génération à l’indentification de mutations de la lignée germinale chez des patients ayant des cancers à début précoce avec une composante sporadique ou héréditaire. Les patients seront répartis en 5 groupes selon leur type de cancer. - Dans le premier groupe seront inclus les patients ayant un cancer du sein à début précoce sans altérations génomiques de BRCA1, BRCA2 ou TP53. - Dans le deuxième groupe seront inclus les patients ayant un cancer de l’ovaire à début précoce sans altérations génomiques de BRCA1 ou BRCA2. - Dans le troisième groupe seront inclus les patients ayant un cancer pédiatrique sans altérations génomiques de TP53. - Dans le quatrième groupe seront inclus les patients ayant un cancer colorectal à début précoce sans altérations génomiques de APC, MUTYH, SMAD4, BMPR1A, PTEN ou STK11 en cas de polypose adénomateuse ou d’hamartome ou sans altérations génomiques de MSH2, MLH1 ou MSH6 en cas de cancer colorectal héréditaire sans polypose. - Dans le cinquième groupe seront inclus les patients ayant des tumeurs primaires multiples sans présenter une forme syndromique. Les échantillons de tous les patients seront séquencés et analysés pour 200 gènes sélectionnés.

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Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 6 ans

Etude ASPIK French : étude randomisée de phase 3 comparant la prise d’aspirine à un placebo chez des patients opérés d’un adénocarcinome du colon de stade 3 ou de stade 2 à haut risque de récidive avec mutation PI3K. Le cancer du côlon se développe à partir des cellules qui tapissent la paroi du colon, organe du tube digestif. Il existe différents stades (de 0 à 4) en fonction de l’envahissement des cellules cancéreuses et leurs propagations. Le traitement de référence du cancer du côlon de stade 3 associe l’intervention chirurgicale qui consiste à retirer les parties cancéreuses et la chimiothérapie (médicaments anticancéreux). Malgré ce traitement, le risque de récidive reste relativement important, ce qui signifie que le cancer réapparait à la suite du traitement. Certaines voies de signalisation (comme la voie PI3K) sont impliquées dans le développement de pathologies et notamment de cancer et elles peuvent être surexprimées dans certains cancers. Des études cliniques ont démontré un l’intérêt de l’utilisation de l’aspirine à faible dose qui aurait un effet protecteur majeur sur le risque de récidive. Ces études ont cependant un niveau de preuve insuffisant pour pouvoir affirmer son intérêt à ce jour. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de l’aspirine sur le risque de récidive après une intervention chirurgicale chez des patients ayant un cancer du côlon et porteur d’une mutation PI3K. Suite à leur intervention chirurgicale, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront 1 comprimé d’aspirine quotidiennement. Les patients du deuxième groupe recevront 1 comprimé de placebo quotidiennement. Dans les 2 groupes, le traitement sera démarré dans les 3 mois après l’intervention chirurgicale et sera poursuivi pendant 3 ans. Après la chirurgie, la décision de démarrer une chimiothérapie ou non au patient sera laissée à l’appréciation des médecins. Les patients seront suivis avec un examen clinique, des prélèvements sanguins, un bilan d’imagerie hépatique tous les 3 mois les 3 premières années puis tous les 6 mois les 2 années suivantes. Un scanner thoracique sera effectué tous les ans pendant 5 ans et une coloscopie à 3 ans.

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Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans

Etude ASPIK French : étude randomisée de phase 3 comparant la prise d’aspirine à un placebo chez des patients opérés d’un adénocarcinome du colon de stade 3 ou de stade 2 à haut risque de récidive avec mutation PI3K. [essai clos aux inclusions] Le cancer du côlon se développe à partir des cellules qui tapissent la paroi du colon, organe du tube digestif. Il existe différents stades (de 0 à 4) en fonction de l’envahissement des cellules cancéreuses et leurs propagations. Le traitement de référence du cancer du côlon de stade 3 associe l’intervention chirurgicale qui consiste à retirer les parties cancéreuses et la chimiothérapie (médicaments anticancéreux). Malgré ce traitement, le risque de récidive reste relativement important, ce qui signifie que le cancer réapparait à la suite du traitement. Certaines voies de signalisation (comme la voie PI3K) sont impliquées dans le développement de pathologies et notamment de cancer et elles peuvent être surexprimées dans certains cancers. Des études cliniques ont démontré un l’intérêt de l’utilisation de l’aspirine à faible dose qui aurait un effet protecteur majeur sur le risque de récidive. Ces études ont cependant un niveau de preuve insuffisant pour pouvoir affirmer son intérêt à ce jour. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de l’aspirine sur le risque de récidive après une intervention chirurgicale chez des patients ayant un cancer du côlon et porteur d’une mutation PI3K. Suite à leur intervention chirurgicale, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront 1 comprimé d’aspirine quotidiennement. Les patients du deuxième groupe recevront 1 comprimé de placebo quotidiennement. Dans les 2 groupes, le traitement sera démarré dans les 3 mois après l’intervention chirurgicale et sera poursuivi pendant 3 ans. Après la chirurgie, la décision de démarrer une chimiothérapie ou non au patient sera laissée à l’appréciation des médecins. Les patients seront suivis avec un examen clinique, des prélèvements sanguins, un bilan d’imagerie hépatique tous les 3 mois les 3 premières années puis tous les 6 mois les 2 années suivantes. Un scanner thoracique sera effectué tous les ans pendant 5 ans et une coloscopie à 3 ans.

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Hôpitaux de Rouen MAJ Il y a 5 ans

Étude VASCATAQ : étude de phase 4, évaluant l’effet du bevacizumab sur l’augmentation de la rigidité vasculaire chez des patients ayant un cancer colorectal de stade 4. Le cancer colorectal est le 2 e cancer le plus fréquent chez la femme et le 3e chez l’homme. Il touche le côlon et le rectum et se développe lentement avant de s’étendre à d’autres parties du corps. Le cancer colorectal peut former des métastases notamment dans le foie ou dans les poumons, s’il n’est pas détecté à temps. Le traitement de référence du cancer colorectal métastatique est une thérapie ciblée seule ou associée à une chimiothérapie ou à une radiothérapie. Le bevacizumab est un anticorps monoclonal anti-VEGF qui inhibe la croissance tumorale. En se liant au VEGF, il empêche la croissance des vaisseaux sanguins autour de la tumeur, la privant de nutriments et d’oxygène. La chimiothérapie de type fluoropyrimidine est une classe de médicaments anticancéreux, qui inhibent la synthèse de l’ADN et donc la croissance tumorale. Elle comprend, le capécitabine, le carmofur, la doxifluridine, le fluorouracile et le tegafur. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du bevacizumab chez des patients non traités ayant un cancer colorectal de stade 4. Les patients recevront une chimiothérapie à base de fluoropyrimidine, associée à du bevacizumab, administré soit toutes les 2 semaines, soit toutes les 3 semaines, selon la posologie. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 mois après le début de l’étude.

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