Pays: France - Le promoteur: Eli Lilly and Company
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Etude monarchE : étude de phase 3, randomisée, visant à évaluer l’abemaciclib associé à une hormonothérapie adjuvante standard comparé à une hormonothérapie adjuvante standard seule chez des patients ayant un cancer du sein de stade précoce mais de risque élevé, avec extension du cancer au niveau des ganglions, positif au récepteur hormonal (RH+) mais négatif au récepteur HER2 (HER2-). Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme. 30 % des cancer du sein peuvent devenir métastatique, c’est-à-dire que les cellules cancéreuses peuvent se propager à d’autres parties du corps. Il a été démontré que certaines cellules cancéreuses possèdent des récepteurs aux hormones à leur surface permettant aux traitements de les cibler. L’intervention chirurgicale visant à retirer les zones cancéreuses est généralement effectuée en association avec un traitement appelé « adjuvant ». Un des traitements standards du cancer du sein est l’hormonothérapie qui consiste à attaquer les cellules possédant ces récepteurs pour les détruire. L’abemaciclib est un nouveau médicament, administré par voie orale, donc le but est de bloquer spécifiquement la croissance des cellules cancéreuses, qu’elles possèdent ou non les récepteurs aux hormones. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’association de l’abemaciclib avec une hormonothérapie standard comparée à cette hormonothérapie standard administrée seule, chez des patients ayant un cancer du sein de stade précoce mais de risque élevé, avec extension du cancer au niveau des ganglions, positif au récepteur hormonal mais négatif au récepteur HER2. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront de l’abemaciclib par voie orale et une hormonothérapie adjuvante standard administrée selon son usage. Les patients du deuxième groupe recevront une hormonothérapie adjuvante standard administrée selon son usage. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai ouvert aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Étude RELAY : étude de phase 3 randomisée comparant la sécurité et l’efficacité du ramucirumab associé à l’erlotinib au placebo associé à l’erlotinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec l’EGFR muté et métastatique non-traité antérieurement. Le cancer de poumon non à petites cellules est le type de cancer de poumon le plus fréquent, il représente 85-90% de l’ensemble des cancers de poumon. Le cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade IV est rarement opérable ou traité par radiothérapie, donc le traitement principal reste la chimiothérapie, et récemment à l’immunothérapie. Le ramucirumab est un anticorps monoclonal inhibiteur de la vascularisation des cellules tumorales, ce qui va rendre plus difficile la croissance et la survie des cellules tumorales. Le traitement du cancer du poumon non à petites cellules par le ramucirumab en association avec l’erlotinib a montré une absence de toxicités inattendues et est prometteur d’activité clinique dans les essais cliniques de phases précédentes. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité et l’efficacité de l’association ramucirumab et erlotinib à l’association placebo et erlotinib chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec l’EGFR muté et métastatique non-traité antérieurement. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront du ramucirumab par voie intraveineuse (IV) toutes les deux semaines et des comprimés d’erlotinib tous les jours jusqu’à avoir les critères pour arrêter le traitement. Les patients du deuxième groupe recevront un placebo en IV toutes les deux semaines et des comprimés d’erlotinib tous les jours jusqu’à avoir les critères pour arrêter le traitement. Les patients seront suivis pendant 4 ans.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 5 ans

Étude I8S-MC-JUAB : étude de phase 1 visant à évaluer la sécurité du LY3124996, un inhibiteur de la voie de signalisation ERK1/2, administré seul ou en association avec d’autres agents anticancéreux chez des patients ayant un cancer de stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, organes… Ce sont les plus fréquents. La majorité des cancers suivent les mêmes étapes mais à des vitesses variables. Les cellules cancéreuses sont initialement localisées mais peuvent se propager à d’autres parties du corps formant des métastases. On peut décrire l’évolution du cancer par différents stades en fonction de l’étendue et du volume de la tumeur. Il existe des moyens pour interrompre l’enchaînement des étapes du cancer. Le LY3124996 est un médicament expérimental inhibant une voie de signalisation dans la cellule cancéreuse permettant sa survie. Des études précliniques ont montré que l’association du LY3124996 avec d’autres agents anticancéreux était bien tolérée et pouvait avoir des résultats potentiels. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité du LY3124996 administré seul ou en association avec d’autres médicaments anticancéreux chez des patients ayant un cancer de stade avancé. Les patients seront répartis dans des groupes et recevront du LY3124996 tous les jours, seul ou en association avec de l’abemaciclib, 2 fois par jour, ou avec du nab-paclitaxel et de la gemcitabine 1 fois par semaine. Ces traitements seront répétés toutes les 3 semaines. Un autre groupe de patients recevra du LY3124996 en association avec du midazolam toutes les 2 semaines lors de cures de 3 semaines (sauf la 1re cure qui durera 4 semaines). Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 5 ans

Étude KEYNOTE 287 : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’abémaciclib en association au pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules au stade IV ou un cancer du sein positif pour le récepteur hormonal et négative pour HER2. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Le cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade IV est rarement opérable ou peu traité par radiothérapie, donc les traitements principaux sont la chimiothérapie et/ou l’immunothérapie. Environ 75% des patientes ménopausées ayant un cancer du sein sont positives pour le récepteur hormonal, ce qui les rend sensibles à l’hormonothérapie. Malgré l’efficacité de l’hormonothérapie, des nombreuses tumeurs positives pour le récepteur hormonal présentent une résistance à cette thérapie. Un tiers des patientes ayant un cancer du sein primaire positif pour le récepteur hormonal et normal pour HER2 présente un haut risque de récidive après avoir été traitées par une chimiothérapie néoadjuvante. L’abémaciclib est une nouvelle chimiothérapie qui inhibe la voie du cycle cellulaire stimulé par les oestrogènes et par conséquent elle inhibe la croissance des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’abémaciclib en association au pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules au stade IV ou un cancer du sein positif pour le récepteur hormonal et négatif pour HER2. Les patients seront répartis en 3 groupes selon leur type de cancer. Les patients du premier groupe seront les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules muté pour KRAS et positif pour PD-L1. Les patients du deuxième groupe seront les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules squameux. Les patients du troisième groupe seront les patients ayant un cancer du sein métastatique positif pour le récepteur hormonal, négatif pour HER2. Tous les patients recevront de l’abémaciclib deux fois par jour, tous les jours associé à du pembrolizumab toutes les 3 semaines. Le traitement est répété tous les 21 joursjusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant environ 18 mois.

Essai clos aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 5 ans

Étude I4T-MC-JVDL : étude de phase 1 évaluant la tolérance d’un traitement par osimertinib, un inhibiteur d’EGFR, associé au ramucirumab, un anticorps anti-VEGFR-2 ou au nécitumumab, un anticorps anti-EGFR, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avancé présentant une mutation de l'EGFR T790M. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon, 4ème cause de cancer en France, peut prendre deux formes : « à petites cellules » ou « non à petites cellules », ce dernier représentant la forme la plus fréquente. Le récepteur au facteur de croissance épidermique (EGFR) est une protéine qui joue un rôle important dans l’apparition et le développement des cancers, elle est dite « oncogénique ». Une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires impliqués dans le processus des cancers a permis de développer des traitements ciblés, notamment sur cette protéine EGFR. L’osimertinib par exemple a obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) dans le traitement du cancer des poumons non à petites cellules. Ces thérapies sont très efficaces mais montrent cependant des résistances qui peuvent entrainer la progression de la maladie. C’est la raison pour laquelle elles sont souvent associées à d’autres chimiothérapies. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi de l’osimertinib en association avec le ramucirumab ou le nécitumumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules avec une mutation de l’EGFR et qui ont progressé après un traitement avec un inhibiteur de tyrosine kinase de l’EGFR. Cette étude sera réalisée en 2 phases : une phase de recherche de dose de l’osimertinib et une phase d’expansion. Les patients seront répartis en 2 groupes en fonction du traitement administré : Les patients du 1er groupe recevront du ramucirumab en perfusion intraveineuse (IV) toutes les 2 semaines et de l’osimertinib par voie orale (PO) tous les jours, chaque cure de 2 semaines. Les patients du 2ème groupe recevront du nécitumumab en perfusion IV, le 1er et 8ème jour de chaque cure, toutes les 3 semaines et de l’osimertinib PO tous les jours, chaque cure de 3 semaines. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions
Eli Lilly and Company MAJ Il y a 6 ans

Étude I6F-MC-JJCD : étude de phase 1, évaluant la tolérance du LY3039478, un inhibiteur de Notch, associé à d'autres agents anti-cancéreux, chez des patients ayant un cancer avancé. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, os, organes, etc. Ce sont les cancers les plus fréquents. Il existe plusieurs stades de cancers en fonction de la taille de la tumeur, de sa propagation, qui peut aller d’un cancer au stade précoce à un cancer avancé ou métastatique… Un cancer métastatique signifie que les cellules cancéreuses ont migré et colonisé d’autres tissus ou organes que celui d’origine. Les traitements standards de ce type de cancers passent par l’utilisation de chimiothérapie qui consiste à administrer des médicaments anticancéreux, par voie intraveineuse (IV) ou par voie orale (PO). Une nouvelle molécule, le LY3039478, a montré une efficacité in vitro en bloquant un récepteur impliqué dans différents cancers. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi du LY3039478 lorsqu’il est administré en association avec d’autres agents anticancéreux chez des patients ayant une tumeur solide avancée ou métastatique. Les patients seront répartis en 5 groupes en fonction des traitements qu’ils vont recevoir : - Les patients du 1er groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine et du taladégib PO tous les jours pour des cures de 28 jours. - Les patients du 2ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine et du LY3023414 PO 2 fois par jour, tous les jours pour des cures de 28 jours. - Les patients du 3ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine et de l’abémaciclib PO 2 fois par jour, tous les jours pour des cures de 28 jours. - Les patients du 4ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine, du cisplatine et du gemcitabine en perfusion IV le 1er et le 8ème jour, chaque cure de 21 jours. - Les patients du 5ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine, du gemcitabine et du carboplatine en perfusion IV le 1er et le 8ème jour, chaque cure de 21 jours. Les patients seront suivis selon les conditions habituelles du centre.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 5 ans

Étude I6F-MC-JJCD : étude de phase 1, évaluant la tolérance du LY3039478, un inhibiteur de Notch, associé à d'autres agents anti-cancéreux, chez des patients ayant un cancer avancé. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, os, organes, etc. Ce sont les cancers les plus fréquents. Il existe plusieurs stades de cancers en fonction de la taille de la tumeur, de sa propagation, qui peut aller d’un cancer au stade précoce à un cancer avancé ou métastatique… Un cancer métastatique signifie que les cellules cancéreuses ont migré et colonisé d’autres tissus ou organes que celui d’origine. Les traitements standards de ce type de cancers passent par l’utilisation de chimiothérapie qui consiste à administrer des médicaments anticancéreux, par voie intraveineuse (IV) ou par voie orale (PO). Une nouvelle molécule, le LY3039478, a montré une efficacité in vitro en bloquant un récepteur impliqué dans différents cancers. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi du LY3039478 lorsqu’il est administré en association avec d’autres agents anticancéreux chez des patients ayant une tumeur solide avancée ou métastatique. Les patients seront répartis en 5 groupes en fonction des traitements qu’ils vont recevoir : - Les patients du 1er groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine et du taladégib PO tous les jours pour des cures de 28 jours. - Les patients du 2ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine et du LY3023414 PO 2 fois par jour, tous les jours pour des cures de 28 jours. - Les patients du 3ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine et de l’abémaciclib PO 2 fois par jour, tous les jours pour des cures de 28 jours. - Les patients du 4ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine, du cisplatine et du gemcitabine en perfusion IV le 1er et le 8ème jour, chaque cure de 21 jours. - Les patients du 5ème groupe recevront du LY3039478 PO 3 fois par semaine, du gemcitabine et du carboplatine en perfusion IV le 1er et le 8ème jour, chaque cure de 21 jours. Les patients seront suivis selon les conditions habituelles du centre.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 5 ans

Etude H9H-MC-JBEG : étude de phase 1b (escalade de dose et cohorte d’expansion) visant à étudier la sécurité, la tolérance et l’efficacité d’un nouvel inhibiteur du facteur de croissance transformant-β (galunisertib), administré en association avec un anticorps anti-PD-L1 (durvalumab) chez des patients ayant un cancer du pancréas métastatique récurrent ou réfractaire. [essai clos aux inclusions] Le cancer du pancréas prend naissance dans les cellules du pancréas. La tumeur cancéreuse est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir et détruire le tissu voisin. Elle peut aussi se propager à d’autres parties du corps et former des métastases. Le traitement standard du cancer du pancréas au stade métastatique est une chimiothérapie et consiste à utiliser des médicaments anticancéreux qui vont détruire les cellules cancéreuses. De nouvelles stratégies thérapeutiques, telles que les thérapies ciblées, sont apparues ces dernières années. Elles consistent à bloquer de façon sélective la croissance des cellules cancéreuses et diriger les réactions du système immunitaire de l’organisme contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité de 2 thérapies ciblées : le galunisertib et le durvalumab chez des patients ayant un cancer pancréatique métastatique récurrent ou réfractaire au traitement. L’étude sera réalisée en 2 étapes. Lors de la première étape, les patients recevront du galunisertib et du durvalumab. La dose de traitement administrée sera progressivement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Lors de la deuxième étape, les patients recevront du galunisertib et du durvalumab à la dose la mieux adaptée. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

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Eli Lilly and Company MAJ Il y a 5 ans

Étude I8X-MC-JECA : étude de phase 1 évaluant la sécurité de LY3200882 administré seul ou en association avec d’autres traitements chez des patients ayant des tumeurs solides. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein, et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. Le LY3200882 est un médicament qui inhibe un facteur de croissance impliqué dans la prolifération des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité du LY3200882 administré seul ou en association avec d’autres traitements chez des patients ayant des tumeurs solides. Les patients seront répartis en 3 groupes en fonction de leur pathologie. Les patients du 1er et du 2ème groupe recevront du LY3200882 seul, administré à différentes doses (par groupe de patients différents) jusqu’à détermination de la dose la mieux adaptée puis jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe seront répartis en 3 sous-groupes. Les patients du premier sous-groupe recevront du LY3200882 association avec du LY3300054 jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième sous-groupe recevront du LY3200882 associé à de la gemcitabine et du nab-paclitaxel jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients du troisième sous-groupe recevront du LY3200882 associé à du cisplatine et une radiothérapie jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant environ 1 an.

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