Organes: Tumeurs solides
Kyowa Kirin Pharma, Inc. MAJ Il y a 4 ans

Étude 2455-001 : étude de phase 1 visant à déterminer la dose maximale tolérée et à évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique, la pharmacodynamie, la pharmacogénomique et l’efficacité du KHK2455 en monothérapie ou en association au mogamulizumab chez des patients ayant des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le mogamulizumab est une immunothérapie qui a montré une activité antiinflammatoire et antinéoplasique potentielle. Le KHK2455 est un inhibiteur d’IDO1 capable d’augmenter la prolifération et l’activation de plusieurs types de cellules immunitaires et d’inhiber la croissance des cellules tumorales exprimant l’IDO1, qui joue un rôle important dans l’immunosuppression. L’objectif de cette étude est de déterminer la dose maximale tolérée et d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique, la pharmacodynamie, la pharmacogénomique et l’efficacité du KHK2455 en monothérapie ou en association au mogamulizumab chez des patients ayant des tumeurs solides localement avancées ou métastatiques. Lors de première étape, les patients recevront une première cure de KHK2455 seul suivie par des cures de KHK2455 administré selon un schéma d’escalade de dose associé au mogamulizumab. La dose de KHK2455 sera progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer. Lors de la deuxième étape, les patients recevront une première cure de KHK2455 seul suivie par des cures de KHK2455 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape associé au mogamulizumab. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CA013-004 : étude de phase 1-2a évaluant la sécurité et la tolérance du BMS-986179 administré seul et en association avec le nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes), comme par exemple le cancer du sein, et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif, comme par exemple le cancer des os. Les immunothérapies constituent une stratégie importante de traitement contre le cancer. Le nivolumab et le BMS-986179 agissent en réactivant le système immunitaire pour qu’il lutte contre les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du BMS-986179 administré seul et en association avec le nivolumab chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé. Cette étude se déroulera en 2 étapes. La 1ère étape de l’étude sera divisée en 2 parties. Dans la 1ère partie, les patients seront répartis en 5 groupes en fonction de la dose de BMS-986179 administrée. Les patients recevront du BMS-986179 seul, 1 fois par semaine pendant 2 semaines et auront une biopsie de la tumeur au 10ème jour de traitement. Puis, les patients recevront du BMS-986179, 1 fois par semaine, associé au nivolumab administré toutes les 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans la 2ème partie, les patients seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab, administré à faible dose toutes les 2 semaines et auront une biopsie de la tumeur à la 6ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab, administré à forte dose toutes les 3 semaines et auront une biopsie de la tumeur au à la 6ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 6 semaines jusqu’à 4 cures, et en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Dans la 2ème étape de l’étude, les patients seront répartis en fonction de leur pathologie. Les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules seront répartis en 2 groupes. - Les patients du premier groupe recevront du BMS-986179 seul, toutes les 4 semaines et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. En cas de progression de la maladie, les patients pourront recevoir du BMS-986179 associé au nivolumab. Dans ce cas, ils recommenceront l’étude à partir du premier jour de la première cure. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients ayant un carcinome à cellules rénales seront répartis en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du BMS-986179 seul et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. En cas de progression de la maladie, les patients pourront recevoir du BMS-986179 associé au nivolumab. Dans ce cas, ils recommenceront l’étude à partir du premier jour de la première cure. Les patients du 2ème groupe recevront du BMS-986179 associé au nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients ayant un mélanome ou un carcinome épidermoïde de la tête et du cou recevront du BMS-986179 associé nivolumab et auront une biopsie de la tumeur dans les 5 jours de la 8ème semaine de traitement. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Tous les patients pourront recevoir 80 semaines de traitement supplémentaires. Les patients seront revus 30, 60 et 100 jours après la dernière administration du traitement à l’étude et passeront une évaluation de la réponse tumorale toutes les 12 semaines à partir de la dernière évaluation de la réponse tumorale au cours de l’étude pendant 1 an, puis tous les 6 mois pendant 1 an.

Essai ouvert aux inclusions
Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 4 ans

Étude BP29427 : étude de phase 1b non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l’efficacité de l’émactuzumab en association à du RO70009789 chez des patients ayant des tumeurs solides. [essai clos aux inclusions] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. L’émactuzumab est une immunothérapie qui a montré un effet antiinflammatoire et stimulant du système immunitaire, augmentant l’infiltration des cellules T et leur réponse immune antitumorale, avec une inhibition de la prolifération des cellules tumorales. Le RO7009789 est une immunothérapie qui a montré une potentielle activité stimulante du système immunitaire sur les cellules B, les cellules T et les cellules présentant l’antigène, ce qui se traduit par une réponse immune augmentée. Le RO7009789 cible et active le CD40 présent à la surface des cellules tumorales de certains tumeurs solides, provoquant la mort de ces cellules et inhibant la croissance tumorale. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi, la pharmacocinétique, la pharmacodynamique et l’efficacité de l’émactuzumab en association à du RO70009789 chez des patients ayant des tumeurs solides. L’étude comprendra 2 parties. Lors de la la première partie, les patients recevront de l’émactuzumab selon un schéma d’escalade de dose, associé à du RO7009789, toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou sortie de l’étude. La dose d’émactuzumab sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième partie. Lors de la deuxième partie, les patients recevront de l’émactuzumab à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première partie, toutes les 3 ou 6 semaines en association avec du RO7009789 toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance au traitement ou sortie de l’étude. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Loxo Oncology MAJ Il y a 4 ans

Étude SCOUT : étude de phase 1-2 évaluant la sécurité et l’efficacité du larotrectinib chez des enfants ayant une tumeur solide avancé ou une tumeur primitive du système nerveux central. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90% des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales comme la peau, les muqueuses, et les glandes (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (exemple : cancer de l’os). Le traitement des tumeurs solides dépend des caractéristiques de la tumeur (ex : de la localisation de la tumeur, de son type histologique, de son stade, de la présence ou non de métastase). Les tumeurs du système nerveux central peuvent se développer dans la région intracrânienne ou dans la région du canal rachidien. Elles recouvrent plus d’une vingtaine de tumeurs distinctes. Leur pronostic et leur prise en charge sont très différents selon le type de tumeur et l’âge. Parmi les tumeurs se développant au niveau du cerveau et dans la moelle épinière, il faut tout d’abord distinguer les tumeurs dites primitives (initialement développés dans le système nerveux central), des métastases cérébrales (qui surviennent secondairement chez des patients qui présentent déjà un cancer situé dans un autre organe). Les tumeurs primitives du système nerveux central de l’enfant, de l’adolescent et du jeune adulte sont des tumeurs rares pour lesquelles la classification est en pleine évolution. La stratégie thérapeutique de prise en charge est personnalisée et inclut selon les cas : chirurgie, chimiothérapie, thérapie ciblée, radiothérapie. La découverte d’anomalies moléculaires dans ces tumeurs permet de développer et de prescrire des thérapies ciblées qui peuvent être plus efficaces que les thérapies non spécifiques. Le larotrectinib est un inhibiteur des récepteurs de tropomyosine kinases, une thérapie ciblant spécifiquement les tumeurs solides avec des fusions de gènes NTRK qui a montré dans les études précédentes une activité antitumorale préliminaire. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité du larotrectinib chez des enfants ayant une tumeur solide avancé ou une tumeur primitive du système nerveux central. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1re étape, les patients recevront du larotrectinib 2 fois par jour. La dose de larotrectinib sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à utiliser lors de la 2e étape. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2e étape, les patients recevront du larotrectinib 2 fois par jour à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1re étape. Le traitement sera répété en l’absence de progression de maladie ou d’intolérance au traitement. Des examens biologiques et radiologiques seront réalisés régulièrement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Chugaï Pharma MAJ Il y a 6 ans

Etude ERY101EG : étude de phase 1 non-randomisée visant à déterminer la dose maximale tolérée et l’efficacité de l’ERY974 chez des patients ayant des tumeurs solides positives pour le Glypican 3 (GPC3). Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ces tumeurs solides sont fréquentes et représentent 90% des cancers humains. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le GPC3 est une protéine présente à la surface des cellules tumorales de certains types de cancers, tels que le carcinome hépatocellulaire, le cancer du poumon et le cancer gastrique, mais elle est rarement produite par les cellules saines de l’adulte. L’ERY974 est une immunothérapie qui cible le GPC3 et les lymphocytes T, ce qui permet de diriger les défenses du patient (lymphocytes T) vers les cellules cancéreuses (productrices du GPC3). Les lymphocytes T vont ainsi être activés et ils vont attaquer et détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de déterminer la dose maximale tolérée et l’efficacité de l’ERY974 chez des patients ayant des tumeurs solides positives pour le Glypican 3 (GPC3). L’étude se déroulera en 2étapes. Dans la première étape, tous les patients recevront de l’ERY974 selon un schéma d’escalade de dose. L’ERY974 sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Dans la deuxième étape (étape d’expansion de cohortes), les patients seront répartis en 3 cohortes selon leur type de cancer : Les patients de la cohorte 1 seront les patients ayant un cancer gastrique avancé ou un cancer de la jonction gastrooesophagienne positif pour le GPC3. Les patients de le cohorte 2 seront les patients ayant un carcinome squameux de l’oesophage avancé positif pour le GPC3. Les patients de la cohorte 3 seront les patients ayant d’autres tumeurs solides avancées positifs pour le GPC3. Tous les patients inclus dans la deuxième étape recevront l’ERY974 à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 38 mois maximum.

Essai ouvert aux inclusions

Étude 1367.1 : étude de phase 1a-1b évaluant la sécurité et la tolérance du BI 894999 chez des patients ayant des tumeurs solides ou un lymphome diffus à grandes cellules B. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes, qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif (exemple : cancer des os). Le lymphome est un cancer du système lymphatique qui se développe quand une erreur survient au niveau de la fabrication des lymphocytes, conduisant à la production de cellules anormales. Le BI 894999 agit en bloquant la prolifération des cellules tumorales et en induisant leur mort. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du BI 9894999 chez des patients ayant des tumeurs solides ou un lymphome diffus à grandes cellules B. L’étude se déroulera en 2 étapes : Lors de la première étape, les patients ayant des tumeurs solides seront répartis en 2 groupes : Les patients du groupe 1A recevront du BI 894999 tous les jours. La dose du BI 894999 sera régulièrement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à détermination de la dose maximale tolérée, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 1B recevront du BI 894999 tous les jours pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à détermination de la dose maximale tolérée, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Ensuite, les patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B recevront du BI 894999 à la dose et au schéma d’administration recommandés établis chez les patients ayant des tumeurs solides jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Lors de la deuxième étape, les patients seront répartis en 4 groupes selon leur pathologie. Tous les patients recevront du BI 894999 à la dose et au schéma d’administration recommandés établis lors de la première étape jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront revus 30 jours après la fin du traitement à l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

Étude IB_2014-01-MetZolimOS : étude de phase 1b, en escalade de dose, évaluant la dose recommandée et la tolérance du sirolimus administré en association avec le cyclophosphamide à posologie métronomique, le méthotrexate et l’acide zolédronique, chez des patients ayant une tumeur solide avancée avec métastases osseuses, ou un ostéosarcome localement avancé et/ou métastatique, préalablement traités. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cette étude est d’évaluer la dose la mieux adaptée et la tolérance du sirolimus administré en association avec le cyclophosphamide à posologie métronomique, le méthotrexate et l’acide zolédronique, chez des patients ayant une tumeur solide avancée avec métastases osseuses, ou un ostéosarcome localement avancé et/ou métastatique, préalablement traités. Cette étude comprendra deux parties : Dans la première partie de l’étude, les patientes recevront un traitement comprenant des comprimés de sirolimus administrés une fois par jour, en continu, des comprimés de cyclophosphamide administrés deux fois par jour, une semaine sur deux, des comprimés de méthotrexate administrés au premier et quatrième jour de chaque cure, et de l’acide zolédronique administré en perfusion intraveineuse, au domicile du patient, au deuxième jour de chaque cure. Ces traitements seront répétés toutes les 4 semaines jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Dans le cadre de cette première partie, différentes doses de sirolimus seront testées jusqu’à l’obtention de la dose la mieux adaptée. Dans la deuxième partie de l’étude, les patientes recevront un traitement comprenant du sirolimus, administrée à la dose la mieux adaptée déterminée dans la première partie, du cyclophosphamide, du méthotrexate, et de l’acide zolédronique. Ces traitements seront administrés selon les mêmes modalités que dans la première partie, jusqu’à la rechute ou l’intolérance. Par ailleurs, les patients bénéficieront d’un examen clinique et d’un examen biologique (un prélèvement sanguin) une semaine sur deux, d’un examen radiologique toutes les huit semaines, et d’un examen bucco-dentaire toutes les seize semaines, jusqu’à la fin de traitement.

Essai clos aux inclusions