Organes: Tumeurs solides - Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CLAG525X2101C : étude de phase 1-2 non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du LAG525 en monothérapie ou en association à du PDR001 chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. [essai clos aux inclusions] Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Le LAG525 est une immunothérapie ciblant le point de contrôle immunitaire LAG-3 des lymphocytes T qui régule la réponse immune. Le LAG525 stimule les lymphocytes T pour détruire les cellules cancéreuses, ce qui se traduit par une réduction de la prolifération et de la taille de la tumeur. Le PDR001 est une immunothérapie ciblant le point de contrôle immunitaire PD-1 qui stimule l’activité des cellules T contre les cellules tumorales avec un effet antitumoral prometteur. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et l’efficacité du LAG525 en monothérapie ou en association à du PDR001 chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées. Cette étude est séparée en 2 phases. La phase 1 est une étude d’escalade de dose et la phase 2 est une phase d’expansion de dose. Lors de la phase 1, les patients seront répartis en 3 groupes. La dose de traitement administré est régulièrement augmentée par groupe de patients, afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la phase 2 Les patients du premier groupe recevront du LAG525 seul. Les patients du deuxième groupe B recevront du LAG525 associé à du PDR001 . Les patients du troisième groupe sont des patients japonais qui recevront du LAG525 seul. Lors de la phase 2, les patients des 3 groupes recevront le traitement à la dose déterminée lors de la phase 1. Les patients du premier groupe recevront du LAG525 seul . Les patients du deuxième groupe recevront du LAG525 associé à du PDR001 . Les patients japonais du troisième groupe ser recevront du LAG525 seul. Les patients seront suivis pendant 30 mois.

Essai clos aux inclusions
BeiGene MAJ Il y a 4 ans

Etude BGB-290_study_001 : étude de phase 1 évaluant la sécurité, l’activité pharmacocinétique et antitumorale de tislelizumab en association avec du pamiparib chez des patients ayant une tumeur solide avancée. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) et les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (exemple : cancer de l’os). La chimiothérapie, l’hormonothérapie, l’immunothérapie et les thérapies ciblées sont des traitements qui agissent par voie générale, c’est-à-dire qu’ils agissent sur les cellules cancéreuses dans l’ensemble du corps. Le tislelizumab est un anticorps monoclonal qui favorise la destruction des cellules cancéreuses par le système immunitaire et le pamiparib est un traitement d’immunothérapie qui empêche la réparation de l’ADN donc la prolifération des cellules cancéreuses L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité, l’activité pharmacocinétique et antitumorale de tislelizumab en association avec du pamiparib chez des patients ayant une tumeur solide avancée. L’étude se déroulera en 2 phases : Lors de la 1ère phase, les patients les patients recevront du tislelizumab en association avec du pamiparib. Les doses du tislelizumab et du pamiparib seront régulièrement augmentées par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors la deuxième phase. Le traitement sera répété tous les 21 jours. Lors de la 2ème phase, les patients recevront du tislelizumab en association avec du pamiparib à la dose la mieux adaptée déterminée lors la première phase. Le traitement sera répété tous les 21 jours. Les patients seront suivis pendant 3 ans.

Essai ouvert aux inclusions

Étude ARIANES : étude de phase 2, de type « panier » évaluant l’efficacité et la sécurité du rucaparib associé à de l’atezolizumab chez des patients ayant une tumeur solide avec un déficit de réparation de l’ADN ou sensibles au platine. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisqu’ils représentent 90% des cancers humains. Afin de protéger l’ADN de nos cellules des agressions extérieurs, il existe des mécanismes de réparation de l’ADN. Ces mécanismes sont nombreux. Lorsqu’un ou plusieurs mécanismes est muté et ne fonctionne plus, cela peut donner naissance à des cellules mutantes qui se multiplient de façon incontrôlée et créé des cancers. Certains cancers peuvent être traités par des chimiothérapies de type platines. Il s’agit d’une famille de molécules qui inhibe la réplication de l’ADN et conduit à la mort cellulaire des cellules cancéreuses. Néanmoins, la tumeur développe parfois des mécanismes de résistance à ce traitement. Le traitement des tumeurs solides dépend des caractéristiques de la tumeur (ex : de la localisation de la tumeur, de son type histologique, de son stade, de la présence ou non de métastase). L’atezolizumab anticorps monoclonal qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. Le rucaparib est un traitement qui agit sur la réplication de l’ADN et favoriser la mort cellulaire. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance du rucaparib associé à l’atezolizumab, chez des patients ayant une tumeur solide avec un déficit de réparation de l’ADN ou sensible aux platines. Les patients seront répartis en 4 groupes en fonction des caractéristiques de leur tumeur. Tous les patients recevront du rucaparib seul 2 fois par jour pendant 3 semaines, puis associé à l’atezolizumab à partir de la 2ème cure. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus pour une prise de sang et des analyses urinaires. Un bilan radiologique sera réalisé toutes les 6 semaines pendant la 1re année, puis tous les 3 mois. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 3 ans après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

Étude Metro-PD1 : étude de phase 1-2 randomisée évaluant la tolérance et l’efficacité du nivolumab en association avec une chimiothérapie métronomique, chez les patients ayant une tumeur solide réfractaire ou en rechute ou un lymphome. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le nivolumab est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. La chimiothérapie métronomique consiste à administrer de faibles doses de chimiothérapie quotidiennes ou fréquentes parmi les traitements habituellement utilisés pour un cancer spécifique, dans cette étude les traitements utilisés sont le cyclophosphamide, la vinblastine et la capecitabine. Cette chimiothérapie permet d’inhiber la croissance tumorale. Cette approche basée sur l’utilisation de faibles doses de chimiothérapie permet également de réduire les toxicités qui lui sont habituellement associées. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et l’efficacité du nivolumab en association avec une chimiothérapie métronomique chez les patients ayant une tumeur solide réfractaire ou en rechute ou un lymphome. L’étude se déroulera en 2 étapes. Lors de la 1ère étape, les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes : - Les patients du 1er groupe recevront du nivolumab toutes les 2 semaines, associé à de la vinblastine une fois par semaine et du cyclophosphamide quatre jours par semaine. Le traitement est répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. - Les patients du 2ème groupe recevront du nivolumab toutes les 2 semaines, associé à de la capécitabine tous les jours. Le traitement est répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. - Les patients du 3ème groupe recevront du nivolumab toutes les 2 semaines, associé au cyclophosphamide pendant 4 jours toutes les 2 semaines, à de la capécitabine pendant 4 jours toutes les 2 semaines, et à de la vinblastine une fois par semaine. Le traitement est répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème étape, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : - Les patients du 1er groupe recevront la chimiothérapie métronomique la mieux adaptée déterminée lors de la 1ère étape. Le traitement est répété toutes les 4 semaines, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. - Les patients du 2ème groupe recevront la chimiothérapie métronomique sélectionnée lors de la 1ère étape associé à du nivolumab pendant 2 semaines. Le traitement est répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant maximum deux ans après leur entrée dans l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Etude CA223-001 : étude de phase 1-2 réalisée en 3 parties, évaluent la sécurité, la tolérance et l’efficacité du l’irilumab (un anti-KIR) administré en combinaison avec du nivolumab (un anti-PD1), chez des patients ayant des tumeurs solides réfractaires de stade avancé et notamment un carcinome des cellules squameuses de la tête et du cou. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Les cancers solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, organes… Ce sont les cancers les plus fréquents. Les cancers de la tête et du cou sont des cancers qui se forment dans les voies aérodigestives supérieures (lèvres, langue, bouche, gorge…). La plupart d’entre eux prennent naissance dans les cellules squameuses formant la paroi de ces voies et cavités aérodigestives supérieures. PD-L1 est une protéine surexprimée par certaines cellules cancéreuses et joue un rôle important dans le processus d’évolution u cancer : elle faciliterait l’échappement de la cellule cancéreuse aux cellules de défense du système immunitaire. Malgré un progrès de la thérapie pour ce type de cancer, le besoin médical reste aujourd’hui encore non satisfait. L’utilisation de l’immunothérapie dans le traitement du cancer est basée sur l’utilisation de produits qui stimulent les cellules du système immunitaire empêchant la résistance des cellules cancéreuses au système immunitaire. Le nivolumab (anti-PD-1) a démontré une activité clinique dans de nombreux cancers. Le lirilumab, lui, joue un rôle à un autre niveau de l’immunité et l’utilisation simultanée de ces 2 molécules pourraient potentialiser les effets de ces traitements. Cette étude sera réalisée en 3 étapes : - Une 1ère étape, qui a déjà eu lieu aux Etats-Unis dont le but est d’évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance du lirilumab administré avec du nivolumab chez des patients ayant une tumeur solide de stade avancé. - Une 2ème étape constituée de 5 groupes selon le type de tumeur, elle-même subdivisée en 2 sous-parties : une 1ère sous-partie, qui a déjà eu lieu aux Etats-Unis et une 2ème sous-partie dont le but sera d’explorer d’avantage les données émergeantes d’efficacité et de sécurité d’emploi chez les patients ayant un carcinome des cellules squameuses de la tête et du cou. - Une 3ème etape a été ajoutée à l’étude et aura les mêmes objectifs que la 2ème sous-partie de la 2ème partie chez des patients ayant un carcinome des cellules squameuses de la tête et du cou avec un statut PD-L1 positif. L’objectif de cette étude est d’évaluer la faisabilité et la sécurité de l’administration combinée du lirilumab et du nivolumab dans un premier temps, puis d’évaluer la tolérance et l’efficacité et l’association du lirilumab et nivolumab comparée à celles du nivolumab administré seul chez des patients ayant un carcinome des cellules squameuses de la tête et du cou (PD-L1 positif dans la 3ème partie). Etape 2 - 2ème sous-partie : Les patients recevront du nivolumab en perfusion intraveineuse (IV) en 1h toutes les 2 semaines et du lirilumab en perfusion IV le 1er et le 29ème jour de chaque cure. Lorsque les deux traitements seront administrés le même jour, le lirilumab sera administré dans les 30 minutes après la fin de la perfusion de nivolumab. Ce traitement sera répété pour un maximum de 12 cures de 8 semaines (96 semaines) ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance. Un électrocardiogramme, des tests biologiques et une radiographie thoracique seront réalisés dans le mois précédant l’administration du traitement à l’étude. Des prélèvements sanguins seront effectués toutes les 2 semaines dans les 3 jours avant l’administration du traitement. Une évaluation tumorale par imagerie sera réalisée dans la dernière semaine de chaque cure et avant la 1ère dose de la cure suivante. Les patients seront suivis 1 fois par mois, les 4 premiers mois, suivant la dernière administration du traitement à l’étude, puis tous les 3 mois (visites à l’hôpital ou par téléphone) jusqu’à 3 ans après la première administration du traitement à l’étude. Etape 3 : Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du groupe expérimental recevront du nivolumab en perfusion IV toutes les 2 semaines et du lirilumab en perfusion IV le 1er et le 29ème jour de chaque cure. Lorsque les deux traitements seront administrés le même jour, le lirilumab sera administré dans les 30 minutes après la fin de la perfusion de nivolumab. Les patients du groupe contrôle recevront du nivolumab en perfusion IV toutes les 2 semaines et un placebo en perfusion IV le 1er et le 29ème jour de chaque cure. Lorsque les deux traitements seront administrés le même jour, le placebo sera administré dans les 30 minutes après la fin de la perfusion de nivolumab. Dans les 2 groupes, le traitement sera répété pour des cures de 8 semaines jusqu’à progression de la maladie, intolérance ou arrêt définitif du traitement. Le traitement au-delà de la progression sera autorisé si le patient remplit certains critères. Un électrocardiogramme sera effectué lors de la sélection et le 1er jour de chaque cure, une radiographie thoracique sera réalisée lors de la sélection et des prélèvements sanguins seront effectués toutes les 2 semaines dans les 3 jours avant l’administration du traitement. Une biopsie tumorale sera pratiquée lors de la sélection, à J15 de chaque cure. Une évaluation tumorale par imagerie sera réalisée dans la dernière semaine de chaque cure et avant la 1ère dose de la cure suivante. Les patients seront suivis 1 fois par mois, les 4 premiers mois, suivant la dernière administration du traitement à l’étude, puis tous les 3 mois (visites à l’hôpital ou par téléphone) jusqu’à 3 ans après la première administration du traitement à l’étude.

Essai clos aux inclusions
AbbVie MAJ Il y a 4 ans

Étude M16-074 : étude de phase 1 évaluant la sécurité et la tolérance de ABBV-368 en monothérapie et en association chez des patients ayant des tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif (exemple : cancer des os). ABBV-368 est un anticorps qui stimule le système immunitaire du patient en se liant à un récepteur, induisant la prolifération de cellules immunitaires (appelées lymphocytes T) dirigés contre les cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance de ABBV-368 en monothérapie et en association chez des patients ayant des tumeurs solides métastatiques ou de stade avancé. L’étude se déroulera en 2 étapes : Dans la 1ère étape (étape à doses variables), les patients recevront de l’ABBV-368 toutes les 2 semaines. La dose de l’ABBV-368 sera régulièrement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété tous les 28 jours pendant 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Dans la 2ème étape (étape d’expansion de groupes), les patients seront répartis en 2 groupes selon leur type de cancer : Les patients du groupe 2A ayant un cancer du sein triple négatif recevront de l’ABBV-368 seul toutes les 4 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape. Le traitement sera répété pendant 2 ans maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 2B ayant un carcinome de la tête et du cou recevront de l’ABBV-368 toutes les 4 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape associé à de l’ABBV-181. Le traitement sera répété pendant 2 ans ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 1 an et demi maximum après la fin du traitement à l’étude.

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Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CA 186-107 : étude de phase 1-2, en escalade de dose, évaluant la tolérance et l’efficacité d’un traitement associant urelumab et nivolumab, chez des patients ayant une tumeur solide avancée ou métastatique ou un lymphome non hodgkinien à cellules B. [essai clos aux inclusions] Le lymphome est un cancer du système lymphatique qui conduit à la production anormale des lymphocytes. Ces lymphocytes cancéreux peuvent se diviser plus vite et vivent plus longtemps que les lymphocytes sains. Les cellules du lymphome peuvent être dispersées dans tous les ganglions et les tissus lymphatiques, mais dans le 30-40% de cas le lymphome est localisé au moment du diagnostic. Le traitement se fait souvent par une chimiothérapie et/ou une thérapie ciblée, comme une immunothérapie. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. L’urelumab est une immunothérapie qui stimule le système immunitaire pour reconnaitre et éliminer les cellules tumorales. Le nivolumab est une autre immunothérapie qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance de l’urelumab en association avec le nivolumab chez des patients ayant une tumeur solide avancée ou métastatique ou un lymphome non hodgkinien à cellules B. Les patients recevront de l’urelumab par voie intraveineuse toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures associé à du nivolumab par voie intraveineuse toutes les 2 semaines jusqu’à 12 cures. La dose de traitement administrée sera augmentée par groupe de patients jusqu’à la détermination de la dose à mieux tolérée. Les patients seront suivis pendant environ 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans

Étude CA 186-107 : étude de phase 1-2, en escalade de dose, évaluant la tolérance et l’efficacité d’un traitement associant urelumab et nivolumab, chez des patients ayant une tumeur solide avancée ou métastatique ou un lymphome non hodgkinien à cellules B. Le lymphome est un cancer du système lymphatique qui conduit à la production anormale des lymphocytes. Ces lymphocytes cancéreux peuvent se diviser plus vite et vivent plus longtemps que les lymphocytes sains. Les cellules du lymphome peuvent être dispersées dans tous les ganglions et les tissus lymphatiques, mais dans le 30-40% de cas le lymphome est localisé au moment du diagnostic. Le traitement se fait souvent par une chimiothérapie et/ou une thérapie ciblée, comme une immunothérapie. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisque, à eux seuls, ils représentent 90% des cancers humains. L’urelumab est une immunothérapie qui stimule le système immunitaire pour reconnaitre et éliminer les cellules tumorales. Le nivolumab est une autre immunothérapie qui bloque la tolérance du système immunitaire à la présence de cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi et la tolérance de l’urelumab en association avec le nivolumab chez des patients ayant une tumeur solide avancée ou métastatique ou un lymphome non hodgkinien à cellules B. Les patients recevront de l’urelumab par voie intraveineuse toutes les 4 semaines jusqu’à 6 cures associé à du nivolumab par voie intraveineuse toutes les 2 semaines jusqu’à 12 cures. La dose de traitement administrée sera augmentée par groupe de patients jusqu’à la détermination de la dose à mieux tolérée. Les patients seront suivis pendant environ 2 ans.

Essai ouvert aux inclusions