Organes: Prostate - Spécialités: Autres (cryothérapie, radiofréquence, homéopathie,...)
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Steba Biotech MAJ Il y a 4 ans

Étude CLIN1802 PCM404 : étude de phase 4 évaluant les effets indésirables et la qualité de vie après une thérapie photodynamique à visée vasculaire avec padéliporfine comme traitement minimalement invasif, chez des patients ayant un cancer de la prostate unilatéral à bas risque. Un cancer de la prostate se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. La majorité des cancers de la prostate sont des adénocarcinomes (90 %) ; ils se développent à partir des cellules qui constituent le tissu de revêtement de la prostate (cellules épithéliales). Les patients ayant un cancer de la prostate à bas risque font face à un dilemme : choisir entre le traitement de leur cancer par une thérapie radicale, qui est fréquemment associée à des atteintes sexuelles, urinaires ou intestinales sur le long terme ou être mis sous « surveillance active » où la maladie est suivie et n’est traitée que lorsqu’elle évolue. Le padéliporfine est un traitement photosensibilisant qui va se loger préférentiellement dans les cellules cancéreuses. Lorsque celles-ci ont captés ce traitement et qu’on les expose via la thérapie photodynamique à une certaine lumière, cela provoque des réactions entrainant la mort des cellules. Cette technique pourrait constituer une 3e alternative de traitement tout en évitant les conséquences sexuelles, urinaires ou intestinales d’une thérapie radicale. L’objectif de cette étude est d’évaluer les effets indésirables et la qualité de vie après une thérapie photodynamique à visée vasculaire avec padéliporfine comme traitement minimalement invasif chez des patients ayant un cancer de la prostate unilatéral à bas risque. Les patients recevront une thérapie photodynamique à visée vasculaire focale avec padéliporfine. Les patients seront revus aux mois 1, 2, 3, 6 et 12 pour une évaluation clinique, le recueil des données sur les fonctions érectile et urinaire à l’aide de questionnaires relatifs à la qualité de vie spécifiques de la maladie. A 3, 6 et 12 mois, les patients seront également revus pour un dosage du PSA. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 12 mois.

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Endocyte MAJ Il y a 4 ans

Étude PSMA-617-01 - VISION : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du lutécium 177Lu-PSMA-617 en association avec les meilleurs soins de support (ou traitement de référence) par rapport aux soins de support (ou traitement de référence) seuls, chez des patients ayant un cancer de la prostate métastatique, résistant à la castration, évolutif et positif au PSMA. [essai clos aux inclusions] Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate, initialement normales, qui se transforment et se multiplient de façon anarchique, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne. La majorité des patients ayant un cancer de la prostate métastatique vont développer une maladie résistante à la castration. L’arsenal thérapeutique pour cette maladie semble donc être appelé à s’enrichir dans les années futures afin d’améliorer ses bénéfices. L'antigène spécifique de la membrane de la prostate (PSMA) est une enzyme qui joue un rôle dans la survie et la migration des cellules. Sa perturbation peut entrainer la transformation des cellules saines en cellules cancéreuses. Le PSMA est abondamment exprimée dans 85-90 % des cancers de la prostate métastasés. Le 177Lu-PSMA-617 est une petite molécule qui s’accroche au PSMA et fournit une radiothérapie précise destinée à réduire le cancer. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du 177Lu-PSMA-617 617 associé aux meilleurs soins de support (ou de référence) par rapport aux meilleurs soins de support (ou de référence) seuls, chez des patients ayant un cancer de la prostate métastatique, résistant à la castration, évolutif et positif au PSMA. Les patients seront répartis aléatoirement en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront du lutécium 177Lu-PSMA-617 toutes les 6 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 6 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients recevront ensuite les meilleurs soins de support (ou de référence) après la fin de la dernière cure. Les patients du 2ème groupe recevront les meilleurs soins de support (ou de référence) seuls. Les patients seront revus pour une évaluation radiologique toutes les 8 semaines pendant les 24 premières semaines du traitement de l’étude puis toutes les 12 semaines par la suite. Les patients seront suivis 30 jours après la fin du traitement de l’étude, puis tous les 3 mois pendant 24 mois.

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