Organes: Primitif du foie

Étude HCC-DPPIV : étude de phase 1 non-randomisée visant à évaluer la sécurité d’emploi de la sitagliptine chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avant une résection du foie. [essai clos aux inclusions] Le carcinome hépatocellulaire est le sixième cancer le plus fréquent dans le monde. Il est lié à l’hépatite C chronique et à la stéatohépatite non alcoolique induite par l’obésité et/ou le diabète de type 2. Dans le 90% de cas, le carcinome hépatocellulaire survient dans un contexte de cirrhose hépatique. La sitagliptine a montré dans des études précliniques une capacité de ralentir le développement de certains types de cancer chez la souris. La sitagliptine est capable d’augmenter l’infiltration des lymphocytes T dans les cellules tumorales, stimulant la réponse immunitaire de l’organisme contre les cellules tumorales. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité d’emploi de la sitagliptine chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avant une résection du foie. À l’inclusion dans l’étude, tous les patients seront soumis à une biopsie du foie du tissu tumoral et non tumoral. Les patients recevront de la sitagliptine par voie orale pendant 3 semaines plus ou moins 7 jours. Dans cette étude, la sitagliptine sera administrée à 3 doses différentes, donc les patients seront répartis en 3 groupes selon la dose administrée. Après ce traitement, les patients seront soumis à une chirurgie pour la résection du carcinome hépatocellulaire puis ils pourront recevoir le traitement standard selon la décision de l’investigateur. Les patients seront suivis jusqu’à 1 semaine après la chirurgie.

Essai clos aux inclusions

Etude Catalogue onco : étude exploratoire visant à évaluer les caractéristiques du microbiote intestinal chez des patients ayant un cancer. [essai clos aux inclusions] Notre tube digestif abrite de très nombreux micro-organismes (bactéries, virus, parasites et champignons) qui constituent notre microbiote intestinal. Il joue un rôle dans diverses fonctions de l’organisme : digestive, métabolique, immunitaire, neurologique. Un déséquilibre au niveau de ce microbiote peut être à l’origine de certaines maladies notamment des maladies inflammatoires. Des études ont démontré que certaines tumeurs étaient liées à la présence de micro-organismes ou à un déséquilibre du microbiote. L’efficacité de certains traitements pourrait aussi dépendre de la présence ou non de bactéries spécifiques. L’analyse de ce microbiote pourrait devenir un test systématique avant la mise en oeuvre d’un traitement, prédictif de la réponse thérapeutique. L’objectif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques du microbiote intestinal chez des patients ayant un cancer (colorectal, du sein, de la prostate, du poumon non à petites cellules ou un carcinome hépatocellulaire). Des prélèvements de sang et des selles seront effectués avant le début du traitement chez les patients ayant un carcinome hépatocellulaire. Des prélèvements sanguins et des selles seront effectués avant ou après le début du traitement chez tous les autres patients. Une autre étude sera aussi réalisée chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, des prélèvements sanguins et des selles seront réalisés avant et après le début du traitement (lors de la première évaluation de la maladie). Les patients seront suivis selon les procédures habituelles dans le centre pour leur pathologie.

Essai clos aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 5 ans

Étude CA209-8KX: étude de phase 1-2, randomisée évaluant la pharmacocinétique du nivolumab chez des patients ayant un cancer bronchique non à petite cellule, un carcinome à cellules rénales, un carcinome hépatocellulaire, un mélanome métastatique ou non résécable ou un cancer colorectal. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules (CPPC) par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie. Pour le carcinome à cellules rénales, un cancer apparaît lorsqu’une cellule du rein initialement normale se transforme, puis se multiplie de façon incontrôlée en formant un amas de cellules anormales qu’on appelle une tumeur cancéreuse. Un cancer du rein peut prendre naissance à partir d’une cellule de différentes parties du rein. En 2011, il y a eu 11 090 nouveaux cas de cancer du rein en France. Le cancer du rein représente ainsi environ 3 % de l’ensemble des cancers. Le choix du traitement dépendra si un seul rein est fonctionnel ou les deux, le type de cancer du rein et de l’état de santé global. En fonction de ces paramètres, la chirurgie, les thérapies ciblées, l’immunothérapie, l’embolisation artérielle et/ou l’ablation seront proposés. Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie qui se développe, dans la grande majorité des cas, à partir des cellules du foie déjà endommagées par une maladie chronique ou une cirrhose. La transplantation du foie constitue le traitement de 1re intention du carcinome hépatocellulaire car elle peut être curative. Le carcinome hépatocellulaire représente environ 80% de l’ensemble des tumeurs primitives ou secondaires du foie. Avec 714 600 cas en 2002, le carcinome hépatocellulaire représente le 5e cancer le plus fréquent dans le monde. Le mélanome est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules de la peau, les mélanocytes. Un changement de la couleur, de la taille ou de la forme d’un grain de beauté est souvent le premier signe de la présence d’un mélanome cutané. S’il est dépisté à un stade précoce et localisé, le pronostic reste généralement bon ; en revanche, à un stade avancé le pronostic est moins favorable. La principale approche thérapeutique systémique pour les patients ayant un mélanome non résécable ou métastatique est l’immunothérapie par inhibiteurs de checkpoint immunitaire comme un anti-PD-1 en monothérapie ou associé à un anti-CTLA-4. Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme et le troisième chez l’homme. Il touche le côlon et le rectum et se développe lentement pendant 5 à 10 ans avant de s’étendre à d’autres parties du corps. Le cancer colorectal peut former des métastases notamment dans le foie ou dans les poumons, s’il n’est pas détecté à temps. Le traitement du cancer colorectal métastatique se fait souvent par une thérapie ciblée seule ou associée à une chimiothérapie, ou bien par immunothérapie. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le nivolumab est un anticorps monoclonal agissant sur le système immunitaire et induisant une inhibition de la prolifération des cellules cancéreuses. Le nivolumab cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules du système de défense du corps (cellules immunitaires), appelée lymphocytes T. Le blocage de PD-1 active les cellules les lymphocytes T et permet de tuer les cellules cancéreuses. Le hylenex recombinant (rHuPH20) est une enzyme appelée hyaluronidase (dérivée de l’ADN recombinant humain). L’application de cette technologie permet d’augmenter à la fois les volumes et la biodisponibilité de l’injection sous-cutanée permettant de réduire les limitations de cette voie d’administration dans de multiples contextes de soins. L’objectif de cette étude est d’évaluer la pharmacocinétique (le devenir dans l'organisme d'une substance active contenue dans un médicament après son administration) du nivolumab, chez des patients ayant un cancer bronchique non à petite cellule, un carcinome à cellules rénales, un carcinome hépatocellulaire, un mélanome métastatique ou non résécable ou un cancer colorectal. L’étude comprendra 3 parties. Lors de la 1ère partie, les patients (groupe 1) recevront du nivolumab associé à du hylenex (recombinant, puis, après 4 semaines, du nivolumab seul. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème partie, les patients seront répartis de façon aléatoire en 3 groupes. Les patients du groupe 2 recevront du nivolumab en administration sous-cutanée (sous la peau), puis en administration intraveineuse à partir de la 4ème semaine. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du groupe 3 recevront du nivolumab associé à du hylenex (recombinant) une première fois puis du nivolumab seul à partir de la 4ème semaine. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du groupe 4 recevront du nivolumab en administration sous-cutanée (sous la peau) à une dose plus importante, puis en administration intraveineuse à partir de la 4ème semaine. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 3ème partie, les patients de la 1ère et 2ème partie recevront du nivolumab associé à du hylenex (recombinant) toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 104 semaines en l’absence de progression de la maladie d’intolérance au traitement. Durant de la 4ème partie, les patients (groupe 5) recevront du nivolumab associé à du hylenex (recombinant) toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à 104 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 4 semaines pendant le traitement puis 30 et 100 jours après la dernière cure. Après la dernière visite de suivi, les patients entreront en période de suivi de survie, avec une visite ou un contact téléphonique tous les 3 mois et ce pendant une durée maximale de 5 ans après le début du traitement de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions
Celgene MAJ Il y a 6 ans

Étude CC-122-HCC-002 : étude de phase 1-2 evaluant la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du CC-122 en association au nivolumab chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire non résécable après échec d’une première ligne de traitement. Le carcinome hépatocellulaire est le sixième cancer le plus fréquent dans le monde. Il est lié à l’hépatite C chronique et à la stéatohépatite non alcoolique induite par l’obésité et/ou le diabète de type 2. Dans 90% de cas, le carcinome hépatocellulaire survient dans un contexte de cirrhose hépatique. Le traitement standard se fait par du sorafénib, qui inhibe la prolifération cellulaire et la vascularisation des cellules tumorales, mais il peut survenir une progression de la maladie. Par conséquent, il est nécessaire de trouver un traitement alternatif au sorafénib pour les patients dont la maladie progresse pendant ou après traitement. Le CC-122 est une thérapie ciblée qui a montré des propriétés immunomodulatrices et qui empêche la vascularisation des cellules tumorales ainsi qu’une activité antitumorale dans certains cancers hématologiques. L’objectif de cet essai est d’évaluer la sécurité d’emploi, la tolérance et l’efficacité du CC-122 en association au nivolumab chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire non résécable après échec d’une première ligne de traitement. Dan la première partie de l’étude,les patients recevront du CC-122 pendant 5 à 7 jours selon un schéma d’escalade de dose associé au nivolumab administré toutes les 2 semaines. Le CC-122 sera progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer. Dans la deuxième partie de l’étide, les patients recevront du CC-122 pendant 5 à 7 jours à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la 1ère partie de l’étude, associé au nivolumab administré toutes les 2 semaines. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Transgene MAJ Il y a 5 ans

Étude TG6006.01 : étude de phase 1-2 évaluant l’efficacité et la sécurité du pexa-vec associé au nivolumab en première ligne de traitement chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé. Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie qui se développe, dans la grande majorité des cas, à partir des cellules du foie déjà endommagées par une maladie chronique ou une cirrhose. La transplantation du foie constitue le traitement de 1ère intention du carcinome hépatocellulaire car elle permet de traiter la maladie. Le carcinome hépatocellulaire représente environ 80% de l’ensemble des tumeurs primitives ou secondaires du foie. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le nivolumab cible et bloque une protéine présente à la surface de certaines cellules du système immunitaire, appelée lymphocytes T. Le blocage de cette protéine active les lymphocyte T et permet de tuer les cellules cancéreuses. Pexa-Vec est virus qui permet de détruire les cellules cancéreuses. Il cible sélectivement les tumeurs et augmente induit la surexpression de la protéine ciblée par le nivolumab et donc son efficacité. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité du pexa-vec associé au nivolumab en première ligne de traitement chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé. Tous les patients recevront du pexa-vec 3 fois toutes les 2 semaines au 1er jour, au 15e jour puis au 28e jour, associé à du nivolumab toutes les 2 semaines à partir de la 2e semaine. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 1 an.

Essai ouvert aux inclusions
Hoffmann-La Roche MAJ Il y a 5 ans

Étude IMbrave150 : étude de phase 3 randomisée comparant la tolérance et l’efficacité de l’atézolizumab en association avec du bévacizumab avec celles du sorafénib en monothérapie chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé ou métastatique non préalablement traité. Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie, cancer qui se développe à partir des cellules du foie. Il survient dans la grande majorité des cas sur un foie qui est déjà endommagé par une maladie chronique et qui présente une cirrhose. L’atézolizumab agit en empêchant l’inhibition de la réponse immunitaire par les cellules tumorales. Bloquer cette inhibition aide le système immunitaire à attaquer les cellules tumorales afin de ralentir ou d’arrêter la croissance de la tumeur. Le bévacizumab agit quant à lui en inhibant la formation de vaisseaux sanguins, empêchant ainsi la propagation des cellules tumorales. L’objectif de cette étude est de comparer la tolérance et l’efficacité de l’atézolizumab associé au bévacizumab avec celles du sorafénib seul chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé ou métastatique non préalablement traité. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du premier groupe recevront de l’atézolizumab toutes les 3 semaines associé à du bévacizumab toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du sorafénib 2 fois par jour en continu. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du premier groupe seront suivis pendant 10 mois et les patients du deuxième groupe pendant 9 mois après la fin du traitement à l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

Etude Catalogue onco : étude exploratoire visant à évaluer les caractéristiques du microbiote intestinal chez des patients ayant un cancer. Notre tube digestif abrite de très nombreux micro-organismes (bactéries, virus, parasites et champignons) qui constituent notre microbiote intestinal. Il joue un rôle dans diverses fonctions de l’organisme : digestive, métabolique, immunitaire, neurologique. Un déséquilibre au niveau de ce microbiote peut être à l’origine de certaines maladies notamment des maladies inflammatoires. Des études ont démontré que certaines tumeurs étaient liées à la présence de micro-organismes ou à un déséquilibre du microbiote. L’efficacité de certains traitements pourrait aussi dépendre de la présence ou non de bactéries spécifiques. L’analyse de ce microbiote pourrait devenir un test systématique avant la mise en oeuvre d’un traitement, prédictif de la réponse thérapeutique. L’objectif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques du microbiote intestinal chez des patients ayant un cancer (colorectal, du sein, de la prostate, du poumon non à petites cellules ou un carcinome hépatocellulaire). Des prélèvements de sang et des selles seront effectués avant le début du traitement chez les patients ayant un carcinome hépatocellulaire. Des prélèvements sanguins et des selles seront effectués avant ou après le début du traitement chez tous les autres patients. Une autre étude sera aussi réalisée chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, des prélèvements sanguins et des selles seront réalisés avant et après le début du traitement (lors de la première évaluation de la maladie). Les patients seront suivis selon les procédures habituelles dans le centre pour leur pathologie.

Essai ouvert aux inclusions

Étude GEMOXIA-02 : étude de phase 2 visant à évaluer l’efficacité d’un traitement intra-artériel hépatique par de la gemcitabine et de l’oxaliplatine en deuxième ligne chez des patients ayant un cholangiocarcinome intra-hépatique non résécable et non métastatique. [essai en attente d'ouverture] Le cholangiocarcinome intrahépatique est une tumeur maligne qui prend naissance dans les cellules qui recouvrent la lumière des voies biliaires intrahépatiques. C’est une tumeur localisée à l’intérieur du foie et c’est le deuxième type le plus fréquent de cancer primitif du foie. Pour les cholangiocarcinomes intrahépatiques non résécables, une chimiothérapie est proposée pour ralentir la progression de la maladie et réduire le volume tumoral afin d’essayer de rendre la tumeur résécable, car la chirurgie est le seul traitement curatif. Par conséquent, il est nécessaire de trouver des stratégies de traitement plus efficaces pour les patients ayant un cholangiocarcinome intrahépatique non résécable. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité d’un traitement intra-artériel hépatique par de la gemcitabine et de l’oxaliplatine en deuxième ligne de traitement chez des patients ayant un cholangiocarcinome intra-hépatique non résécable et non métastatique. Les patients auront une implantation d’un cathéter hépatique artériel par radiologie interventionnelle qui sera contrôlé systématiquement par artério-scanner avec injection artérielle d’un agent de contraste à base d’iodine. Les patients recevront de la gemcitabine et de l’oxaliplatine par voie intra-artérielle hépatique tous les 15 jours. Les patients seront suivis pendant 12 mois minimum.

Essai en attente